1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1565)


    Datte: 10/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... que cette énorme paluche fessait mon cul cambré et offert. Je ne disais rien, ne me débattait pas, ne cherchais pas à fuir cette main qui me faisait pourtant bien rougir les fesses, au contraire j’exhibais plus encore mon cul, le tendait davantage pour faciliter le travail de cet homme pervers. Je renonçais, ne m’interrogeais plus quant à savoir si cette raclée était juste et méritée, je me faisais rosser le cul, point à la ligne !
    
    Et puis, tout d’un coup je sentais une tige rigide pénétrer ma rondelle, et je comprenais vite que l’obèse nurse m’enfilait le manche cylindrique de sa spatule en bois… Elle faisait manœuvrer l’ustensile de cuisine par de nombreux et énergiques allers et venues, tout en la faisant tournoyer sur ladite spatule sur elle-même, puis stoppait net pour le laisser planter profond comme un drapeau planté tout en haut d’une montagne, alors que Marc continuait à me fesser sans vergogne…
    
    - Regarde chéri, on dirait qu’on a planté un haut mat dans un profond volcan !, ironisait la grosse femme
    
    Mes fesses étaient brûlantes, mon anus me faisait mal et pourtant je sentais ma nouille frétiller, j’oscillais entre la douleur et le plaisir, tel un masochiste… Puis la nurse retirait la spatule et l’homme exigea de me mettre à quatre pattes. Ensuite Marc exigea de le suivre jusqu’à la cuisine, où j’aperçus une chaise haute … Sous son ordre, je devais m’y installer… Mon fessier crépitait encore lorsque je m’asseyais sur cette chaise haute, presque comme celle ...
    ... d’un enfant, mais adaptée à une taille adulte. L’assise était tout à fait particulière, laissant mon cul dans le vide. Mais pas pour très longtemps car Marc faisait pivoter la partie arrière et verticale sous mon cul afin de la fixer à l’horizontale sous mon fessier. Un sexe factice, pas très long mais solidement fixé à cette partie se retrouvait donc désormais sous mon cul. On exigea que je m’y empale. Cela était difficile et douloureux, mais je parvenais à faire entrer ce gode entre mes entrailles et jusqu’à la garde car heureusement il n’était pas très volumineux. Etant maintenant bien assis et empalé, mes mains comme mes avants bras étaient attachés aux accoudoirs par des sangles en cuir. Mes cuisses et mes chevilles elles aussi étaient maintenues fermement liées. Une sangle en cuir barrait ma poitrine, une autre maintenant mon abdomen en appui contre le dossier de cette chaise. Alors que cette grosse mégère, toujours avec son peignoir rose difforme m’attachait un bavoir autour du cou, son conjoint me campait en bouche un autre gode d’une taille relativement imposante, tant en longueur, qu’en épaisseur…
    
    - Il en dans ton intérêt que tu l’humectes bien de ta salive, parce que tu te doutes certainement où il va finir et à quoi il va servir.
    
    Je hochais la tête de haut en bas pour répondre par l’affirmative, tout en serrant entre mes dents ce gode mou qui ballotait allègrement… Oui je savais que ces deux pervers allaient s’en donner à cœur joie, qu’ils allaient encore ...