1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1565)


    Datte: 10/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1564) -
    
    Chapitre 26 : Ce couple diaboliquement pervers ! -
    
    Il me regardait d’un air dédaigneux, il semblait comblé de m’humilier ainsi… Lorsque ce pervers eut fini de vidanger sa vessie, il m’attrapait brutalement par un bras, alors qu’il s’asseyait sur une chaise. Sans rien dire, il m’obligeait à me coucher à plat ventre, le cul bien relevé, en travers sur ses genoux.
    
    - Tu vas regretter de pisser dans tes couches, sale gamin, tu sens comme tu pues la pisse, petite putain !, me disait-il.
    
    Non seulement je sentais la pisse, mais j’avais encore en bouche le goût amer de celle que je venais d’ingurgiter.
    
    - Pendant que tu lui administres une bonne raclée, je vais lui préparer un bon petit déjeuner !, lançait cette perverse nurse.
    
    Marc caressait mes fesses encore moites, puis sa main passait sous celles-ci pour attraper mes couilles et ma bite encagée, afin de les maintenir bien à sa vue, coincées entre mes deux cuisses resserrées et l’une des siennes. Je ne bougeais pas, ne bronchais pas, je le laissais disposer de mon corps servile, ce corps qui ne me semblait plus être le mien. Se penchant un peu plus sur moi, m’écrasant avec son abdomen proéminent, il m’écartait les fesses de ses deux épaisses mains et semblait examiner avec une attention particulière mon orifice lové dans ce sillon anal maintenu écartelé.
    
    - Viens voir, chérie, viens me dire ce ...
    ... que tu en penses ?
    
    La grosse et vicieuse nurse déboulait en trombe, une large spatule en bois au manche cylindrique, en main.
    
    - Qui a-t-il Marc ?
    
    - Que penses-tu de ce trou de balle ?
    
    Je sentais le pouce de cette trapue mégère glisser sur mon anus, appuyant sur les contours puis forçant sur mon entrée intime.
    
    - On dirait que ça commence tout juste à s’assouplir, tu as bien fait chéri de lui mettre le rosebud, cette nuit…
    
    - Oui je crois, mais je ne suis pas sûr que ce soit suffisant.
    
    - Tu as raison, chéri, il faut qu’il puisse s’ouvrir et s’offrir davantage…
    
    Je n’écoutais plus, les laissais deviser comme s’il était tout à fait logique qu'il en soit ainsi et légitime qu'ils me tripotent et farfouillent le cul, comme ça, de bon matin, dans cette posture ignoble et totalement indécente… Le pouce de l’un et l’index de l’autre me pénétraient, écartaient mon trou, chacun tirant dans un sens opposé pour distendre ma rondelle. Je laissais parfois échapper un gémissement de douleur ou de plaisir sans pouvoir dissocier vraiment si je souffrais réellement ou si ces attentions perverses m’apportaient une forme d’excitation. Je capitulais, j’abdiquais, mon cerveau semblait fonctionner au ralenti comme s’il démissionnait à son tour, me laissant là, avec des ressentis inexplicables, insaisissables voire nébuleux. Doucement mais sûrement, je me sentais glisser et m’enfoncer dans une soumission totale et irréversible, puisque je me contentais de sursauter à chaque fois ...
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