1. Les petites stagiaires: Elodie, II,3


    Datte: 10/11/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exorium, Source: Hds

    ... à poil.
    
    – Même quand il est habillé, un homme…– Ça se voit quand il a la trique, je sais, oui, merci ! Mais c’est quand même nettement plus pratique s’il est tout nu. On peut la lui regarder grimper, descendre, remonter. Savoir pourquoi. Faire ce qu’il faut pour.
    
    – Ce que je dois comprendre…– Oh, mais vous êtes pas obligé, hein !
    
    – Mais à une condition ! Donnant donnant. À condition que toi aussi, de ton côté…– Oui, ben alors là, sûrement pas ! Il y a pas de risque.
    
    – Et la raison ?
    
    – Non, mais attendez ! Si ça vous fait autant d’effet de me voir, c’est que c’est pas tout le temps. C’est que c’est juste un quart d’heure, comme ça, le soir, sous la douche. Du jour où ce serait en continu, autant que vous voulez, ça vous laisserait complètement de marbre.
    
    – Mais non !
    
    – Oui, ben alors là, je suis bien tranquille !
    
    Et, à la maison, j’ai vécu nu.
    
    ‒ Ça devrait être tous les mecs, n’empêche ! Faudrait une loi qui les oblige à être comme ça. Toujours. Partout. Même dans la rue. Qu’on puisse se rendre compte, nous, les filles. Qu’on sache à qui on a à faire. Qu’on puisse jauger le matériel. Et tout et tout. Ça nous mettrait de bonne humeur pour la journée en plus. Mais enfin faut pas rêver. C’est pas demain la veille qu’ils iront nous voter une loi pareille, nos députés. Bon, mais moi je vous ai, vous. C’est déjà ...
    ... pas si mal.
    
    Elle était constamment à l’affût.
    
    – Elle vous plaît, la fille à la télé, là, hein ! Ah, si ! Si ! Au moins un peu. Vous pouvez pas dire le contraire !
    
    De temps en temps, elle m’offrait un petit cadeau impromptu. Elle faisait, dans le plus simple appareil, une brève incursion dans la pièce où je me trouvais. Juste le temps de vérifier que les mêmes causes continuaient à produire les mêmes effets. Et elle repartait satisfaite.
    
    Ou bien elle venait se vernir les ongles des orteils dans la cuisine.
    
    – C’est là qu’on voit le plus clair…Elle tirait une chaise, s’y installait, venait caler le talon de son pied contre sa fesse, posait son menton sur son genou. La jupe glissait le long de la cuisse. Dessous elle était nue.
    
    – Vous direz que je suis pas gentille avec vous après ça !
    
    Elle jetait de fréquents petits coups d’œil à ma bite dressée.
    
    – Eh, ben dis donc !
    
    Au tour du deuxième pied.
    
    J’étais parfois tenté, en la regardant, d’aller chercher mon plaisir.
    
    – Ah, non ! Non ! Seulement le soir sous la douche, ça ! Vous pouvez bien attendre jusque-là quand même !
    
    Sous la douche. Avec elle. Tous les soirs. Tous les soirs, sans exception, je me répandais frénétiquement pour elle. Tous les soirs, elle me regardait faire. Avec infiniment d’attention. M’accompagnait parfois. Rarement. Beaucoup trop rarement. 
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