1. Les petites stagiaires: Elodie, II,3


    Datte: 10/11/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exorium, Source: Hds

    ... côté, on pouvait le voir en train de le faire si on voulait. On s’en privait pas d’ailleurs. Il y en avait une qu’allait s’y poster pendant que l’autre assurait le spectacle. À tour de rôle on s’y collait. Et que je te traverse la salle de séjour pour aller de la chambre à la salle de bains ou à la cuisine. Et en revenir. En nuisette. Ou en petite culotte. Ou même carrément à poil. Et que je te me vautre sur le canapé, les genoux remontés bien haut, pour lui offrir des aperçus aussi saisissants que possible. On adorait. Et on adorait aller le regarder en train de nous observer. Il s’agenouillait pour être à bonne hauteur. Il ouvrait son pantalon. Il se mettait la queue à l’air. Il s’acharnait dessus. On voyait bien avec la lumière du réverbère, de l’autre côté de la haie. Ça lui jaillissait vite. Presque tout de suite. Mais il restait quand même. À se la toucher. À se la faire ressusciter. Et il recommençait. On se racontait après avec Cynthia. Ce qu’on avait montré et ce qu’on avait vu. Bien en détail. Il y avait aussi des fois où on y restait toutes les deux dans le séjour. « Parce qu’attends, il va finir par trouver ça louche, à la longue, d’en avoir qu’une à chaque fois. Il va se demander pourquoi. » Ça tournait carrément au concours entre nous ces jours-là. À celle qui l’exciterait le plus. On l’imaginait. On lui parlait. Comme s’il était dans la pièce avec nous. « Tu vois bien, là ? Ça te plaît ? Oui, hein ? Tu serais difficile, remarque ! Parce qu’il faut bien ...
    ... reconnaître : il y en a de plus mal fichues, non ? Bon, mais qu’est-ce qui te tente ? Qu’est-ce tu veux que je te montre ? Mes seins ? C’est bien parce que c’est toi. Mais ouvre tout grands les yeux ! Profites-en vite. Parce que je vais pas te les laisser longtemps. » Fallait qu’on fasse attention. De pas se laisser emporter par notre élan. Qu’il ne soupçonne pas, à force, qu’on l’avait percé à jour. Ç’aurait plus été du tout la même chose. »
    
    Sur le trottoir, en sortant, j’ai suggéré un petit tour au Luxembourg.
    
    Elle a fait la moue.
    
    ‒ Oui, oh…– Non ? Qu’est-ce tu voudrais alors ? Dis !
    
    – Rentrer prendre une douche. Parce que de vous avoir raconté tout ça…Un quart d’heure plus tard, on était à la maison. Nos vêtements ont volé aux quatre coins de la salle de bains.
    
    – Non, attendez ! Escaladez pas avec moi. Pas tout de suite.
    
    – Hein ? Mais pourquoi ?
    
    – Vous verrez bien !
    
    Elle s’est mouillée, savonnée, frottée. Et puis, pour le laver, elle a posé un pied sur le rebord de la baignoire. J’ai dégluti. Comment ça la lui entrebâillait la chatte ! Ça me la donnait. Ça me l’offrait. En sinuosités dentelées. En luxuriances humides. De tout près. De si près.
    
    – Oh, merci. Merci.
    
    Je me suis empoigné, frénétiquement emporté vers mon plaisir. Qu’elle a regardé approcher.
    
    – Sur moi ! Partez sur moi ! »Sur son ventre. À grandes et interminables giclées. Elle m’a recueilli, du bout des doigts, en a enduit son bouton, s’en est lissée, pénétrée. Avec l’autre main ...