1. La cochonne.


    Datte: 10/11/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... sentir aussi, elle me retient plaqué contre elle.
    
    - Vas-y… crache-moi dans la chatte de la veuve. Râle-t-elle en me griffant.
    
    La semence lui arrose sa belle plante, sèche de deux ans d’abstinence. Le pénis clapote en elle longuement puis demeure immobile. Je ramollis, ressors, avec un long bruit d’air. Elle pousse, évacuant le sperme avec un plaisir qu’elle ne cherche pas à dissimuler. Je laisse alors tomber.
    
    -Ce n’est pas bien ce qu’on vient de faire !
    
    -Et pourquoi ça ? Pour ton frère ?
    
    -En autre !
    
    -Sache qu’à choisir il aurait préféré que je fasse ça avec toi, qu’avec un autre, tu peux me croire!
    
    Toujours sur mes genoux, elle me saisit la main droite et la guide entre ses fesses, m’obligeant à lui introduire un doigt dans l’anus. Je la pénètre avec précaution.
    
    - Vas-y, mais vas-y donc ! M’encourage-t-elle en me broyant le poignet.
    
    - Mais Marianne ! Balbutie-je.
    
    Enfin ma main se trouve manœuvrer pas ses soins, elle s’en sert comme un objet inerte qu’elle fait aller et venir dans son conduit humide.
    
    - Ça me gêne !
    
    Mais elle me tient fermement la main, s’enculant avec, toujours plus fiévreusement, son rectum s’englue et elle jouit, ruant de la croupe et s’empalant frénétiquement sur mes doigts. Partagée entre curiosité et dégoût, je sens mes doigts se poisser d’un chaud liquide. Elle me fixe du regard.
    
    - Tu es un drôle de mec, murmure-t-elle.
    
    Elle ramène ma main à ma vue.
    
    - Sens tes doigts, lance-elle, en les plaquant contre mon ...
    ... nez. Pénètres-toi de l’odeur de mon cul, hume mon parfum.
    
    Je renifle alors qu’elle pressait mes doigts sous le nez, leur fit faire le tour de la bouche. Ils étaient encore poisseux de glaires. Elle fut parcourue de frissons, comme si peu à peu, elle prenait goût à ce jeu pervers.
    
    -Tu aimes ? Fit-elle.
    
    -C’est une odeur que je connais déjà.
    
    -Oui, je m’en doute.
    
    -Je parle de la tienne. Je l’ai déjà senti à travers tes culottes.
    
    -Oh là, tu me fais peur. Branle-moi, exige-t-elle.
    
    Je porte mon autre main à son sexe et caresse son clitoris saillant. En même temps, elle s’unit à moi pour sentir mes doigts. S’enivrant comme moi de la forte odeur. A mesure, je sens sous ma caresse son bourgeon enflé.
    
    - C’est bon, gémit-elle.
    
    Puis elle se met à lécher avidement les doigts gluants de sécrétions. Son orgasme en est décuplé et elle retombe sans force sur moi.
    
    - Nous faisons la paire, ricane-t-elle en me caressant les cheveux.
    
    Son regard est trouble, puis elle ajoute :
    
    - Jamais je ne t’aurai crue capable de faire une chose aussi dégoûtante, et de m’avoir à ce point excitée. Nous sommes faits pour nous entendre, tu ne crois pas ?
    
    Loin d’être rasassié, et sans prendre la peine de lui répondre, je me mets à lui malaxer ses chairs gluantes. Mes doigts inspectent sa fente, s’affairent sur son bouton, entrent profondément dans son vagin.
    
    -Mais tu es insatiable mon cochon, parfait j’adore ça ! Lâche-t-elle, avant de laisser échapper de sa bouche, de longues ...