1. La cochonne.


    Datte: 10/11/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... n'esquisse aucun geste de recul. Tout au contraire, un mouvement de son bassin me fait pénétrer deux phalanges en elle. Je commence un doux va-et-vient qui lui arrache un léger râle de plaisir. Nos bouches se retrouvent dans un violent baiser à pleines.
    
    - J’ai envie de ta queue. Me fit-elle après avoir reculé sa bouche.
    
    Je m’installe pour ça sur la banquette arrière. En trois mouvements le travail fut fait, la ceinture domptée, la braguette ouverte. La voie est libre. Je viens d’accomplir une action d’audace. Christine m’enjambe pour s’asseoir sur mes cuisses. Elle écarte les cuisses au maximum pour que son entrejambe soit en contact avec moi. Je la sens ouverte, coulante. Elle est lente et douce, calme et appliquée. Elle me masse la poitrine avant de descendre sur mon ventre. Je pense qu’elle va au moins retirer son collant, mais le contact de nos sexes s’est fait à travers le nylon.
    
    Elle s’arrange même pour caler mon gland dans l’ouverture de sa fente. Elle entame une danse qui fait monter de ma gorge un cri que j’ai grand peine à maîtriser. Elle se soulève au moment où je concrétise. Elle devinait ce que je ressentais alors que l’inverse n’était pas vrai. Elle se soulève finalement, met une main entre ses cuisses. Je suis surpris qu’elle ne déchire pas le nylon pour me mettre à nu, mais qu’au contraire, elle se caresse à travers le collant. L’innocente femme se métamorphose de seconde après seconde. Le désir éveille en elle des gestes amoureuses. Elle devient une ...
    ... femelle languissante, exigeante, perverse.
    
    Je crois bien qu’elle a joui. Moi je reste là, avec mon érection. Elle se redresse, vient se placer en équilibre au-dessus de moi, me tourne le dos. Tendant la main derrière elle, elle amène ma verge toujours à travers le nylon dans le sillon de ses fesses appuyant pour me faire sentir sa chaleur. Elle monte et descend. À la fin, elle attire mon gland entre ses cuisses, à l’endroit où le collant forme un creux, entre les lèvres de son sexe. Le nylon est humide. Elle tripote l’extrémité de ma queue sur le nylon.
    
    Et là, la portière s’est ouverte à la volée. Marianne m’apparaît avec ses hautes bottes noires qu’elle porte aux pieds.
    
    -Cathy te cherche Christine. Dépêches-toi !
    
    Prise d’une panique folle, cette dernière se démène à remettre de l’ordre sur elle, avant de se précipiter en direction de la salle.
    
    -Alors ? me fit Marianne.
    
    Je lâche un, tout en me rajustant :
    
    -Je n’ai pas eu le temps de la baiser.
    
    -Ça tombe bien ! Me fit Marianne en prenant place à son tour sur mes genoux.
    
    Elle se saisit de mon sexe et le guide jusqu’à son antre. Sous sa jupe, la coquine est nue. D’une ruade elle s’empale. Je fus happé, avalé. Mon pénis nage dans un conduit brûlant et elle se trémousse dessus d’avant en arrière, le souffle court. Je ferme les yeux d’extase, cramponné à ses hanches. Je la laisse s’agiter sur mon membre, attentif à ne pas ressortir. Bientôt, le mouvement se précipite et je sens que ça venir. Elle doit le ...