1. Aveuglement consensuel


    Datte: 08/11/2023, Catégories: fh, fhh, candaul, inconnu, Oral pénétratio, init, totalsexe, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... s’il n’y avait pas de spectateur, comme si je n’existais pas. Bien qu’au départ, elle n’était pas très chaude, devenue bouillante, Bénédicte jouit totalement de la situation dans tous les sens du terme.
    
    Sans parler du fait que son sexe luisant ruisselle impudiquement de sperme…
    
    Quant à moi, je me sentais de trop. J’avais bien planifié de faire un beau trio, mais devant leur communion sexuelle si éclatante, je me suis senti tout petit. Ce sera pour une autre fois, je suppose. Aujourd’hui, ce fut la grande révélation pour ma femme, elle a souhaité en profiter à fond, pleinement, entièrement.
    
    Il commence à se faire tard, la séance a duré un peu plus longtemps que prévu. Je ne vais pas me plaindre que tout se soit passé comme sur des roulettes. D’ailleurs, Gérard et Bénédicte sont du même avis que moi : il y a une fin à tout. Il faut dire qu’ils sont tous les deux vannés, épuisés, mais repus.
    
    Comme le dit la maxime bien connue,il n’est de bonne compagnie qui ne se quitte. De ce fait, il va bientôt être l’heure de partir. Redevenu policé, après avoir traité ma femme de divers vocables peu recommandés pour les oreilles chastes, Gérard en profite pour féliciter ma femme :
    
    — Toutes mes félicitations, Bénédicte. Vous avez fait là une très belle prestation !
    
    Malgré le bandeau qui cache une partie de son visage, il est flagrant que ma femme rougit :
    
    — Euh, merci… vous êtes sincère ? Je… je me suis sentie parfois un peu gauche…
    — Pas du tout ! Et puis, ne vous en ...
    ... faites pas, c’est normal, surtout en ayant les yeux bandés en présence d’un inconnu.
    — En tout cas, j’aime bien votre voix…
    — Merci. Moi, j’ai tout aimé de vous !
    
    Ma femme rosit de plaisir :
    
    — Merci beaucoup, Gérard…
    — Tout le plaisir fut pour moi, et je crois savoir que vous en avez aussi profité, non ?
    
    Ma femme s’amuse de ce vouvoiement :
    
    — Gérard, je croyais qu’on était devenu plus intime ? C’est pas toi qui me traitais de belle chienne et de grosse salope il y a quelques minutes ? Et encore, t’as dit pire…
    — C’était dans le feu de l’action…
    — Et maintenant ?
    
    Gérard caresse les seins toujours nus de ma femme :
    
    — Pour rester poli, Béné, oui, je te veux toujours et je te désire toujours, même si j’ai eu le grand plaisir de connaître sous toutes les coutures ! J’ose espérer que nous nous reverrons bientôt, même si tu ignores toujours qui je suis, sauf mon prénom.
    — Au fait, c’est bien le tien ?
    — Oui, c’est le mien, celui que mes parents m’ont donné à ma naissance.
    
    Un petit silence s’installe, que ma femme brise d’une voix toute douce :
    
    — Pour répondre à ta question : oui… moi, je veux bien… j’ai beaucoup aimé… tout ce que tu m’as fait et même dit…
    
    Ça y est, ma femme a accepté d’être passée de l’autre côté du versant !
    
    Gérard et Bénédicte se font d’abord la bise pour se dire au revoir, puis son nouvel amant dépose un baiser sur ses lèvres qu’elle ne refuse pas. Elle sourit même de cette initiative. Heureux d’avoir passé un bon moment et ...