1. Ma première fois avec un mâle


    Datte: 06/07/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: klariola, Source: xHamster

    ... énorme. Oui, énorme ! Étourdi par les coups venant de toutes parts et à toute vitesse, je suis intérieurement ébahi par la masse qui me heurte. C’est long, chaud et dur, un peu comme une baguette de pain frais, mais en plus lourd ! Les coups qui pleuvent sur moi cessent enfin et je reçois un nouvel ordre :
    
    — Ouvre les yeux, maintenant.
    
    Une belle queue de plus de vingt centimètres jaillissait des pantalons noirs et se dressait fièrement devant moi. Son gland décalotté trônait sur le membre épais et veiné qui disparaissait dans une touffe de poils noirs. Cette queue est incroyablement belle et une telle impression de puissance émane d’elle que je réalise que le mâle à qui elle appartient pourrait faire de moi ce qu’il veut.
    
    — Je vois tes yeux de petite chienne qui brillent. Tu la trouves comment ma queue ?
    
    — Elle est magnifique, Monsieur. Imposante et magnifique, Monsieur.
    
    — Allez, sors ta langue pour me montrer à quel point tu es contente. Oui, comme ça, c’est bien. Tu la veux, hein, ma bite ? Tu veux ton os, ma jolie ?
    
    — Oh oui, Monsieur, j’adorerais.
    
    — C’est tout ? Je te croyais plus affamée…
    
    — S’il vous plaît, Monsieur, je vous en supplie. Permettez-moi de toucher et de cajoler votre grosse queue, je vous en prie, imploré-je avec des mots qui me surprennent moi-même.
    
    — C’est bien, ma belle, tu es une bonne chienne, murmure-t-il affectueusement en croisant ses mains dans son dos. Viens goûter ta grosse sucette.
    
    Sans attendre davantage, je ...
    ... bondis sur son gland doux et chaud que je m’empresse de lécher, puis, après l’avoir bien caressé avec ma langue, je fais glisser son gland sur mes lèvres jusqu’à le gober. J’entends Monsieur qui soupire de plaisir pendant que je suçote son gland comme une friandise glacée tout en promenant ma langue sur toute sa surface. Concentrée dans ma besogne, je ne sens pas ses deux mains se placer de chaque côté de ma tête jusqu’à ce qu’il m’ordonne de lever les yeux vers lui, ce que je fais en lui lançant un regard mi-apeuré, mi-excité, tout en conservant sa bite dure comme de la pierre dans ma bouche. En appuyant sur mon crâne, il me force alors à entamer un mouvement de va-et-vient le long de sa grosse queue et, progressivement, j’arrive à en avaler de plus en plus, mais elle est tellement large que je peine à dépasser la mi-longueur.
    
    — Oui, vas-y, salope, avale ma queue. Comme ça, c’est bien. Je vais te montrer comment une pute doit satisfaire son maître, tu vas voir, me dit-il en ressortant complètement sa queue luisante de ma bouche et en la balançant devant mon visage comme pour me narguer.
    
    Aussitôt, comme par un réflexe de chienne prête à tout que j’étais devenue, j’essaie de happer sa grosse bite avec mes lèvres, ce qui vaut une gifle aussi brutale que puissante.
    
    — Pas de ça avec moi. Moi seul décide quand tu as droit à ma queue. Toi, tu gardes la bouche ouverte et tu attends aussi longtemps que je le souhaite que j’aie envie d’y entrer. Et garde tes mains dans ton dos ou ...
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