1. Ma première fois avec un mâle


    Datte: 06/07/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: klariola, Source: xHamster

    ... fallu pour arriver jusqu’ici en autobus. Je suis tellement fébrile que je peine à rester en place devant la porte en attendant que celle-ci s’ouvre. Et ce plug ne fait rien pour arranger les choses. Je le sens qui me chatouille à chacun de mes mouvements. Enfin, la porte s’ouvre et je le vois pour la première fois. Bel homme, d’apparence soignée malgré un début de barbe qui lui donne un air un peu bourru qui n’est pas pour me déplaire, environ ma taille (1,80 m), mais plus large d’épaules, cheveux poivre et sel, il porte des pantalons noirs et une chemise à manches longues rouge vin, comme s’il revenait tout juste de son travail.
    
    Sans un sourire, il dit :
    
    — C’est bien, tu es à l’heure.
    
    Je devine qu’il a préparé cette phrase et qu’il la retourne dans sa tête depuis quelques heures déjà. Il m’invite d’un geste à entrer à l’intérieur. Pendant que j’enlève mon manteau et mes souliers, nous n’échangeons aucun mot. Une gêne atroce me paralyse et ralentit considérablement mes mouvements. Les mots salaces que nous avons échangés me semblent appartenir à un autre univers et je me demande ce que je suis venu faire ici. Une folle envie de rebrousser chemin me saisit brusquement et je m’apprête à m’excuser lorsqu’il dit, d’une voix grave et calme qui ne souffrirait aucun refus :
    
    — Viens t’asseoir au salon.
    
    Comme un automate, je le suis à travers la cuisine jusqu’au salon où il m’invite à m’asseoir à sa gauche sur le divan. Il me tend un verre d’alcool fort.
    
    — Tiens, ...
    ... bois ça.
    
    Même si son ton est posé, je sais que je n’ai pas intérêt à discuter. Je prends le verre de sa grosse main et le porte doucement à mes lèvres. J’ignore de quel alcool il s’agit, mais la minuscule gorgée que j’avale me brûle la gorge.
    
    — Bois-le au complet. Ça te détendra.
    
    Je me force alors à ingurgiter le contenu du verre et me mets ensuite à tousser plusieurs fois. Lorsque je reprends mes esprits, je réalise qu’il a posé sa main sur ma cuisse et qu’il la caresse avec fermeté. Un peu comme on caresserait un chien. L’alcool commence rapidement à faire effet : une grande chaleur envahit mon corps, je me décrispe et profite de la caresse que je reçois. Sa main remonte près de mon entrejambe. Une partie de moi trouve que tout ça va trop vite alors qu’une autre tente de me persuader de profiter de l’occasion qui s’offre à moi de découvrir de nouvelles expériences. Et, peut-être à cause de l’alcool, je ne peux nier que j’ai vraiment envie d’écouter cette dernière partie de moi !
    
    Il doit remarquer à mon attitude que je me relaxe, car il prend ma main et, sans dire quoi que ce soit, en fixant ses yeux bleus dans les miens, il la pose sur sa braguette. Contrairement à ce que son calme olympien suggérait, je sens une bosse de bon augure sous mes doigts, ce qui m’incite à la tâter avec application. Après seulement quelques secondes, une barre distend son pantalon. Je suis fier de moi. Je l’excite.
    
    Monsieur prend alors mon menton de sa main et me tourne la tête vers ...
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