Ma première fois avec un mâle
Datte: 06/07/2019,
Catégories:
Anal
Mature,
Première fois
Auteur: klariola, Source: xHamster
... et la tête à moitié dans le vide, inclinée vers lui. Plaquant ses deux mains sur mes tétons qu’il étire et tortille douloureusement, il fait valser sa queue et me fouette les joues de son gourdin.
— Ouvre la bouche, salope ! Et vite, je ne le répéterai pas.
D’un coup, il m’enfonce sa queue au plus profond de la gorge et entame un va-et-vient infernal. Je n’ai plus conscience ni du temps qui s’écoule ni de la partie de mon corps située sous mes épaules. Tout ce que je sens, c’est le manche noueux qui me perfore la gorge et tout ce que j’arrive à voir malgré la salive qui ruisselle jusqu’à mes yeux, ce sont deux énormes couilles qui s’écrasent sur mon nez à intervalles réguliers. Après je ne sais combien de temps, Monsieur laisse sa queue enfoncée profondément et me tâte la gorge.
— Je sens ma queue dans ta gorge, espèce de pute ! Je vois mon gland qui déforme ta peau ! Tu sais ce que ça veut dire, ça ?
— Hmmm…
— J’ai pas entendu, articule un peu.
— Hmmm…’on ‘o’ieur’
— Ça veut dire que tu m’appartiens, sale chienne ! dit-il en se retirant brièvement. Tu la veux ma bite, hein ? J’imagine, si tu as osé me réveiller ! Dis-moi à quel point tu l’aimes ma grosse saucisse !
— Oui, Monsieur, s’il vous plaît ! J’adore votre queue virile, Monsieur, je la vénère, j’y suis toute dévouée, elle est si grosse et si belle, Monsieur, tellement puissante, et moi tellement soumise…
— Ça va, ça va, je te la redonne encore un peu, répond-il en recommençant son ...
... pilonnage.
Après un nombre incalculable de va-et-vient, je sens la matraque de mon mâle commencer à palpiter et Monsieur s’éloigne enfin de moi. Il grimpe ensuite sur le lit, m’empoigne et me soulève comme si j’étais aussi léger qu’une plume, puis me dépose, toujours sur le dos, au centre du lit. Je ne dois pas être bien jolie à voir. Mon visage est recouvert de salive, mes lèvres gonflées comme celles d’un clown, mes yeux tout rougis, et je hoquette en m’efforçant de reprendre mon souffle. Heureusement, mon piètre aspect ne fâche pas Monsieur qui s’empresse de s’agenouiller au-dessus de moi, sa bite à hauteur de mon visage. De ses jambes, Monsieur serre mes bras contre mon corps et m’empêche de remuer. La vue que j’ai, en contre-plongée, est sublime : en contre-jour parce devant le plafonnier, Monsieur et sa belle grosse queue me dominent totalement. Conquise par cette vision saisissante, je m’extasie devant les veines gonflées qui courent le long de la hampe de mon mâle. L’une d’elle, particulièrement saillante, donne à la queue une impression de force quasi divine qui me fait, à ma grande surprise, gémir d’excitation. Décidément, je ne contrôle plus mes réactions. Mon organisme est tout entier tendu vers le sexe et échappe au peu de volonté qui me reste.
— Alors, comme ça, tu as encore envie de ma queue, petite chienne ? m’interroge Monsieur en se branlant lentement.
Son gland qui se décalotte et se recouvre à quelques centimètres de mon visage me pousse à sortir ...