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Une histoire de fille qui s'lit à 200km/h (partie 2)
Datte: 07/11/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Phalien Satiab, Source: Hds
... juste que’ques secondes mais ça m’semble interminable. Y renfonce finalement ses doigts dans ma chatte et recommence à me doigter. J’pince mes lèvres entre mes dents pour ret’nir un gémissement mais j’pense qu’y aimerait mieux que j’me laisse aller. J’suis comme une bonbonne de nitro qu’y est en surpression; j’suis prête à exploser. J’suis plus capable d’me cont’nir. J’ai envie de jouir et j’en ai d’besoin maintenant. J’sais que j’dois m’tasser sur l’accotement sinon j’risque de faire une mauvaise manœuvre; ça promet d’être intense et j’veux pas faire un accident. J’sens qu’j’suis en train de partir comme si j’vais perdre conscience l’espace d’un instant; ça m’arrive parfois quand l’orgasme est trop fort. J’mets mon clignotant et j’me range sur l’accotement. J’jute sans bon sens; même avec la musique j’entends les clapotis du doigtage. J’ferme les yeux et y s’en donne à cœur joie pour mon plus grand plaisir. J’gémis et soupire sans me ret’nir. J’enroule mes doigts autour de son poignet et j’serre le volant avec mon autre main. J’sens qu’la fin est proche, j’frissonne, j’en tremble. J’essaie d’onduler au même rythme qu’y m’doigte pour que j’puisse sentir ses doigts m’pénétrer l’plus loin ...
... possible. Les muscles de mon corps se tendent, j’arrête de respirer pendant que’ques secondes. J’vis à fond la décharge de l’énergie sexuelle; j’m’en plains sans gêne même. “Haaan! Hmmm. Gna. Hmmm. Hahhh.” Haletante, rayonnante et tremblante, j’reviens à moi. Je l’regarde et j’y sourit. Y m’sourit et j’fonds. J’reprends la route. J’me sens toute chaude mais ça s’dissipe graduellement. Y m’demande rien en retour comme c’est un paiement consenti pour l’aide que j’y apporte. Moi j’aimerais bien sentir sa queue lancinante dans ma main mais y m’donne aucun signe comme quoi j’peux l’toucher. L’restant du trajet on est silencieux. J’aimerais ça en savoir plus mais en même temps je l’sais que j’devrais pas et j’pense pas qu’y a l’goût qu’j’y parle de s’qui vient d’se passer; de toute façon, l’faire ça gâcherait toute. J’finis par arrivée dans la 6. Je l’dépose à un vieux garage miteux. Avant d’fermer la portière, y m’remercie. Je l’regarde s’en aller comme si j’allais jamais l’revoir et j’lui r’luque le cul. “Christ qu’y a un beau cul.” J’fais vrombir mon moteur, crisser mes pneus et j’pars sur les chapeaux d’roues. Dans mon rétroviseur, j’vois qu’y s’est arrêté pour me r’garder partir.