Aveuglement
Datte: 06/11/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
init,
candaul,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... aller sous le pistonnage féroce que Gérard lui inflige, dont les mains sont fermement rivées à ses hanches toutes blanches. Visiblement elle apprécie, et lui aussi. Moi, je suis spectateur de la scène, comme si je regardais un film, mais en mieux.
Peut-être que ce sera le cas de la télévision du futur qui sera plus immersive…
— Oooh oui ! Oooh oui !
J’essaye d’y mettre un maximum de conviction :
— Hein que ça te plaît de te faire tringler comme une petite chienne devant un public !
— Oh oui ! Ça m’excite un max ! Oui, oui, continue comme ça !
— Bien sûr que je vais continuer ! Je vais te faire jouir à fond avec ma grosse bite !
— Oh oui ! Défonce-moi avec ta grosse bite !
En tout cas, en ce qui concerne la conviction, Gérard est à fond dedans. Du coin de l’œil, je vois à ses grimaces qu’il s’empêche de parler. En contrepartie, il grogne de temps à autre, ce que je fais moi-même en pareil cas.
Oui, l’illusion reste parfaite.
Bénédicte agite furieusement ses doigts sur son clitoris en feu, tout en poussant de nombreux gémissements. Derrière elle, Gérard donne le meilleur de lui-même. Lequel des deux cédera en premier ?
— Aaargh !
N’en pouvant plus, tétanisé, ses mains toujours rivées aux hanches pleines, Gérard se vide en grandes saccades dans ma femme qui l’accompagne presque aussitôt dans la jouissance.
— Ah ! Aah ! Aaah !
J’ai la curieuse et fugace impression que mon remplaçant est en train de marquer son territoire en envahissant ...
... complètement ma femme, la possédant entièrement, elle rien que pour lui, en expulsant un tsunami de sperme pour tapisser les moindres recoins du vagin offert.
Gérard profitera encore deux fois de ma femme, qui se laisse faire sans complexe, comme s’il n’y avait pas de spectateur. Bien qu’au départ elle n’était pas chaude, devenue bouillante, Bénédicte jouit totalement de la situation dans tous les sens du terme.
Toujours cette double question qui me tarabusque de temps à autre :
Il commence à se faire tard, la séance a duré un peu plus que prévu. Je ne vais pas me plaindre. D’ailleurs, Gérard et Bénédicte sont du même avis que moi.
Comme le dit la maxime bien connue, il n’est de bonne compagnie qui ne se quitte. De ce fait, comme il va bientôt être l’heure de partir et comme il convient aussi de revenir à la normale, je lève l’interdiction qui plane depuis le début de cette soirée :
— Je pense que Gérard peut reprendre la parole, le monde du silence n’a plus lieu d’être…
Puis j’ajoute précipitamment à l’adresse de ma femme qui lève les mains :
— Non, Béné, tu n’ôtes pas ton bandeau !
Puisqu’il peut à présent parler, Gérard en profite pour féliciter ma femme :
— Toutes mes félicitations, Bénédicte. Vous avez fait là une très belle prestation !
Malgré le bandeau qui cache une partie de son visage, il est flagrant que ma femme rougit :
— Euh, merci… vous êtes sincère ? Je… je me suis sentie un peu gauche…
— Ne vous en faites pas, c’est normal, surtout ...