Aveuglement
Datte: 06/11/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
init,
candaul,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
La première fois que ma femme a sucé la bite d’un autre homme que moi, ça remonte à quelques années, mais je m’en souviens comme si c’était hier. On se souvient souvent très bien de ses premières fois, même celles des autres.
Sucer pour commencer…
L’appétit vient en mangeant, dit-on. Mais pour tout ça, j’avoue que c’est ma faute.
Cet autre homme était un total inconnu pour elle. J’avais préféré miser sur quelqu’un que nous ne connaissions pas, plutôt que sur un ami ou un copain. C’est plus facile pour couper le cordon. Toujours prévoir la suite, on ne sait jamais.
Avant de continuer, asseyez-vous confortablement, que je vous narre la chose depuis le début. Je vous rassure, je ne vais pas en faire des tonnes ni trente-six pages. Je vous rassure, je ne m’appelle pas Proust ou Balzac.
Bien installé(s) ? Très bien, revenons à ce fameux jour, ou plutôt à ce fameux soir. Voilà, fermez les yeux, et faites virtuellement dérouler le film comme si vous y étiez.
Samedi soir sur la terre, quelque part dans l’Hexagone.
Après une certaine attente, Bénédicte revient vers moi, ayant terminé de se changer. Elle est vêtue d’un top bleu électrique bras nus et d’une jupe noire avec de la lingerie par-dessous, c’est-à-dire un petit soutif très échancré et un ensemble bas plus porte-jarretelles couleur ébène. Autour de son cou, une chaînette en or double rangée. À ses pieds, des chaussures assorties avec des talons aiguilles de taille moyenne. Plus haut, ma femme a noué ses ...
... cheveux en une sorte de chignon d’où s’échappent quelques mèches folles. L’ensemble est fort plaisant, c’est indéniable.
Avant de quitter la maison, pour être certain qu’il n’y a pas de zones d’ombre, je débriefe à nouveau mon épouse sur la suite des événements :
— Nous sommes bien d’accord, Bénédicte, quand tu monteras dans la voiture, tu porteras un bandeau sur les yeux avec interdiction de l’enlever, tant que nous ne serons pas de retour à la maison.
— Oui, je sais… tu l’as déjà dit trente-six fois, mais pourquoi je ne dois pas savoir où on va ?
— Ça fait partie du jeu, ma chérie. Tout ce que tu as le droit de savoir est le prénom de notre hôte : Gérard. C’est tout.
Elle soupire, mais elle a toujours souscrit à mes petits jeux. Depuis le début de nos activités ludiques un peu spéciales, petit à petit, je fais monter la température, en évitant d’aller trop vite, même si ça me chagrine que ce soit si lent pour gravir la colline.
Bénédicte soupire :
— Drôle de jeu quand même… faire tous les deux l’amour les yeux bandés devant un inconnu, t’as de ces idées !
— Avant, tu fais un peu d’exhib, n’oublie pas…
— Que de l’exhib ! On touche pas, je veux dire, ton Gérard, il ne me touche pas, on est bien d’accord ?
— Bien sûr. Sauf si tu changes d’avis…
— Oh, ça ne risque pas… Déjà, ce que tu me demandes de faire ce soir, c’est limite !
Limite, c’est beaucoup dire. Ma femme a fait pire, il me semble. Mais je reconnais que c’est la première fois que ça se passera ...