Aveuglement
Datte: 06/11/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
init,
candaul,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... Quand il faut y aller, il faut y aller…
Tandis qu’elle se tient debout, se stabilisant en l’absence de vision, je fais un petit signe à l’adresse de Gérard, la musique retentit. Bénédicte s’en amuse :
— Tu penses à tout… Tu sais que j’aime cette chanson…
— Autant mettre tous les atouts de notre côté.
— De ton côté, tu veux dire. Allez, refile-moi une dernière coupe de champagne !
Quatre coupes, elle abuse un peu ! Mais bon, je comprends son état d’esprit. Je lui offre ce petit plaisir qu’elle vide une fois de plus d’un seul trait. Puis se fondant avec la musique, elle ondule légèrement pour commencer. Peu après, le champagne aidant, elle finit par se laisser aller, se trémoussant beaucoup plus.
Puis, lentement, elle remonte son top, dévoilant d’abord son nombril, puis la base de son soutien-gorge, puis tout le haut. Elle lance au hasard son vêtement. Gérard se met à applaudir, une bonne façon de contourner mon interdiction de parler. Ma femme comprend à la provenance du bruit que ça ne vient pas de moi. Elle sourit timidement.
Telle une liane, elle continue de se déhancher sur la musique, faisant ballotter ses mignons seins toujours couverts de tissu, ainsi que sa chaînette en or. Un murmure approbateur émane de l’endroit où est assis Gérard. Ma femme semble apprécier qu’on l’apprécie.
Le champagne aide beaucoup, il me semble, mais je crois l’avoir déjà dit…
Bénédicte jette ses mains derrière son dos, et en un rien de temps, son soutien-gorge valse ...
... à travers le salon, révélant deux seins libérés qui s’agitent sous les mouvements de danse de ma femme. Gérard applaudit à nouveau. Je reconnais que le spectacle vaut le déplacement, même si ça fait des années que je profite de la poitrine de Bénédicte.
Ma femme ondule ostensiblement en direction de précédents applaudissements, mettant ouvertement ses seins en valeur. Gérard apprécie la dédicace muette.
Soudain, Bénédicte se tourne vers moi et demande :
— Allez, une autre coupe, s’il te plaît !
— Tu crois pas que t’as assez bu comme ça ?
— Taratata, il me faut du carburant pour me donner le cœur à l’ouvrage.
Je cède et je dépose entre ses mains une nouvelle coupe de champagne. J’en profite pour demander à Gérard de remettre au début la chanson. Peu après, ma femme reprend sa danse, encore moins inhibée. Après quelques ondulations, c’est la jupe qui choit au sol. Je m’en saisis prestement pour qu’elle ne marche pas dessus. C’est alors que je constate que son slip en satin ne cache finalement pas grand-chose. Gérard applaudit franchement.
Un refrain plus tard, c’est ce même slip qui s’évanouit sous les ovations manuelles de notre hôte. Ma femme sourit une fois de plus. C’est quasiment nue qu’elle se pavane devant un inconnu, lui faisant alternativement admirer le côté pile comme le côté face, uniquement vêtue de ses bas, porte-jarretelles, sans oublier son collier.
Néanmoins, la prestation de ma femme commence à se dégrader, ses gestes manquent parfois de ...