Rêverie ou réalité
Datte: 03/11/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
vacances,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: François Angler, Source: Revebebe
... n’hésita pas une seconde : il prit en main la hampe de sa verge, il plia légèrement les jambes et rechercha à tâtons l’entrée de ce minou. Le gland brûlant frôla les lèvres de cette vulve et Christine, d’une main secourable, dirigea le pieu vers son antre et put ainsi en apprécier la raideur extrême.
Elle sentit les deux mains de son amant lui saisir les hanches, fermement, et la colonne de chair s’insinua en elle avec lenteur. Elle avait déjà pu admirer l’imposant membre, il coulissa en elle, elle était tellement mouillée, le pieu écarta les lèvres et rentra inexorablement. Elle ne put se retenir de reculer, elle aima ce mandrin qui la remplit comme rarement elle l’avait été dans sa vie de femme. Elle se pâma, se cambra, elle s’offrit pleinement, sans retenue. Elle réalisa qu’elle était en manque de bite, quinze jours d’abstinence, c’était trop pour elle. Seulement quinze jours alors que pour cet homme, cela faisait des mois qu’il était privé de sexe. Il était désormais au fond. Leurs corps étaient fusionnés.
Frédéric fut surpris par la facilité à pénétrer ce sexe, avec sa femme, il avait toujours eu tellement de difficultés à la prendre… Parfois, c’était même douloureux pour lui. Là, c’était totalement différent… c’était si facile et tellement agréable ! Il en fut ébahi et resta immobile près d’une minute, au fond de ce carcan chaud, vivant, qui enserrait son chibre. Il avait l’impression de vivre un deuxième dépucelage. Christine était inquiète par l’immobilisme ...
... de son amant.
— Ça va, Fred ? Tu as déjà envie de jouir ?
— Ça va ! Euh… j’apprécie le moment. Il y a si longtemps que je n’ai pas…
Il s’arrêta au milieu de sa phrase, n'allait-elle pas se moquer ? Christine entendit le presque aveu de son ami.
— Vas-y à ton rythme… prends ton temps.
Elle calma ses propres ardeurs, elle aimerait pourtant être défoncée, mais la fragilité de cet homme la toucha. Ooooh ! Il venait de reculer, sortant sa hampe jusqu’au gland qu’il laissa toutefois en elle. Le voilà qui s’enfonça à nouveau au plus profond d’elle en une poussée puissante, mais sans brutalité. Elle retint un cri, mais encouragea son amant.
— C’est bon, Fred !
— Ta chatte est si accueillante. Ça va, tu supportes ?
— Je n’ai jamais connu une telle grosseur, et tu vas si loin en moi. Ooooh ! C’est trop bon… Continue comme ça !
Il rentra et sortit avec une infinie précaution. Il releva la tête, son regard était fixé vers la maison, il craignait que sa femme arrive et le surprenne en plein coït adultérin. Il coulissa dans ce vagin accueillant.
— Ooooh ! Ouiiiii ! C’est bon ! T’arrête surtout pas !
— C’est comme ça que tu aimes te faire baiser ?
— D’habitude, j’aime qu’on me défonce, mais ta bite est tellement hors norme que cette douceur me suffit pour le moment.
Christine exprimait ses envies sans honte, à voix haute. Le rythme s’accéléra doucement. Frédéric sentit qu’il n'allait pas tenir encore très longtemps.
— Chris, c’est trop bon, je sens que je ...