Les aventures de Rosalie - Histoires de Sexe

Les aventures de Rosalie

... du bien. Quand Ludo et Aurélie reviennent à la voiture, inutile de leur demander ce qu’ils ont fait.

— Tu n’as pas de bonbons à la menthe ? demande la cousine à Ludo.
— Non, pourquoi ?
— Ça enlève les odeurs dans la bouche…

Nous déposons les deux filles chez elles et nous rentrons.

— Tu l’as baisée ? demande Adrien.
— Oui, une sacrée chaudasse, répond Ludo.
— Moi, elle ne pouvait pas. Mais elle m’a fait une pipe d’enfer.
— J’ai vu ça !
— Quand j’ai voulu me retirer, elle m’a tenu et pompé jusqu’au bout.

La banquette te remercie.

Quelques jours plus tard, je retrouve les quatre en début de soirée.

— Un burger, ça vous tente ? demande Ludo.
— Un petit apéro avant ? lance Adrien à la cousine.
— OK, lui répond-elle. T’as pensé aux bonbons à la menthe ?
— J’ai un grand paquet, on ne devrait pas tomber en panne !

D’un geste, elle lui fait signe de baisser son jean. La nuit n’est pas encore tombée, je verrai mieux ce qui se passe. C’est loin d’être une apprentie, en deux temps, trois mouvements, Adrien est au garde-à-vous et elle l’avale littéralement. On a beau avoir été briefée par les copines, tant qu’on ne l’a pas vu, on ne croit pas qu’un tel morceau puisse rentrer dans une bouche.

— Eh bien, c’est une sacrée gourmande !

Une moto vient de s’arrêter au feu, à côté de nous. Je regarde le pilote, il a l’air fasciné par le spectacle. Mes vitres n’étant pas teintées, il est aux premières loges. Quand le feu passe au vert :

— Ciao, j’espère ...

... que mon pilote va rester concentré, me lance la moto.

Juste avant d’arriver au drive du fast-food, la cousine fait cracher Adrien. Ce coup-ci, il faudra nettoyer la housse. De toute façon, avec les burgers, ça coule de partout, malgré les serviettes. Je ne suis pas maniaque, mais j’aurais besoin d’un bon coup de nettoyage. Si mes retraités me revoyaient, ils en feraient une crise.

Après un long arrêt dans un bar, j’espère que Ludo ne picole pas trop, nous repartons vers le club, je connais déjà, on se gare un peu à l’écart, dommage pour moi, j’aurais aimé écouter les potins. Aurélie lance à sa cousine :

— Entrez, Ludo et moi, on vous rejoint plus tard.

Et les deux de s’installer à l’arrière de la voiture. Ludo se jette sur Aurélie, il a l’air bien chaud.

— Un moment, dit-elle, je me mets à l’aise.

Elle vire son maillot, le soutien-gorge, la jupe, la culotte. Malgré la pénombre, je peux détailler son physique. Quand j’en parlerai aux copines, je pourrai leur détailler son long cou, les seins en poire, le ventre, la toison taillée, les cuisses fermes.

Elle s’assoit sur la banquette, les jambes grandes écartées, sa fente est brillante. Ludo se glisse à l’intérieur de ses cuisses et commence un cunni, on m’a déjà expliqué que beaucoup de files aimaient ça. Elle lui tient fermement la tête.

— Ah, mon salaud, toi, tu sais faire !

La langue la pénètre, découvre les recoins de son vagin, revient vers le clitoris tant et si bien qu’elle se met à trembler, ...