1. L’étroite mousquetaire


    Datte: 02/11/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Julie Moelle, Source: Hds

    ... après l'autre mélanger dans ma bouche ce qu'il avaient récolté en bas. Nos langues barattèrent longtemps ce beurre de foutre un peu merdeux.
    
    Lorsque nous eûmes avalé chacun une grande gorgée de jus de cul, je dis « C'est crade ici, on s'en va ».
    
    C'est pas parce qu'elle vous ont foutu dans tous les sens qu'on ne peut pas prendre les choses en main...
    
    C'est d'ailleurs ce que j'ai fait ensuite.
    
    Mes deux nigauds bandaient toujours et leurs zobs implacables refusaient de se plier à la volonté de leurs propriétaires. Pour eux, le plaisir n'y était plus vraiment, il commençait même à ressembler à de la souffrance et il considéraient leurs queues avec un peu d'effarement, comme des trucs qui leur auraient poussé du ventre et qui maintenant pensaient à leur place. Ils n'en tiraient plus de fierté ni de vanité, ils ne savaient plus qu'en faire.
    
    Pour les consoler je m'installai sur le siège avant entre Paul qui conduisait et Martial qui occupait la place du mort, et j'empoignai leurs deux bites avec la vigueur du conducteur de char. (Peu de temps auparavant j'avais vu un excellent film de guerre où l'essentiel de l'action se passait à l'intérieur d'un char d'assaut. Je me demandais depuis, quel genre de sensation ça peut bien procurer de conduire un véhicule en tenant une poignée dans chaque main.) Mine de rien, je trouvai ça très agréable de regarder défiler le paysage en branlant deux queues. C'est doux, la peau de zob, doux, élastique et tiède. Je sentais les ...
    ... vibrations électriques de la longue verge de Paul qui s'accéléraient lorsque je montais jusqu'au gland qu'il avait brûlant. Dans le gros pieu de Martial, le sang donnait de grands coups puissants. Plus je le serrais, plus il cognait.
    
    Cette stéréo des sens m'empêchait de me concentrer sur le paysage et me remettait le ventre en feu. Je n'étais pas la seule.
    
    Paul arrêta de nouveau la voiture cette fois-ci dans un lieu beaucoup plus bucolique : un talus ombragé, un abreuvoir, une prairie parsemée de fleurs des champs.
    
    Traversés par un seul et même désir, nous n'avons pas eu besoin de parler. Nous nous sommes déshabillés puis, une fois nue, je m’accrochai des mains à une branche, levai ma jambe droite et la posai sur l'épaule de Martial pour qu’il défonce ma chatte grande ouverte pendant que Paul m’enculait jusqu'à l'estomac. J’ai joui presque immédiatement, et bien plus que mon compte.
    
    Il y avait quelque chose de totalement fou à se faire limer par ces deux zobs mécaniques qui n’en finissaient pas de me crépir les orifices. J’ai joui de nouveau quand ils m’ont prise tous les deux sur le capot de la bagnole, j’ai giclé partout quand Paul m’a fait « le coup de la machine à coudre » - une fois dans le con une fois dans le cul -, et j’ai gueulé comme une truie quand ils m’ont foutu leurs deux machins ensemble dans l’anus.
    
    La maison un rien prétentieuse était à flanc de colline. La terrasse de la piscine dominait un pré et plus bas, un hameau avec son église et une ...