1. Les petites stagiaires: Leslie IV,2


    Datte: 30/10/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exorium, Source: Hds

    ... heures, le jeudi.
    
    – Demain alors ? Ah, non, zut ! Demain, il part dans le Midi, Ewin. Chez ses parents. Lundi alors ! Sans faute. Tu me promets ?
    
    – Va pour lundi.
    
    – Non, mais vous vous rendez compte, les garçons ? Je vais être là, planquée, à regarder tout un tas de nanas s’occuper goulûment de lui. Ce pied que je vais prendre !
    
    – Surtout que je peux te dire qu’elles y mettent vraiment tout leur cœur. Elles lui font ça comme si leur vie en dépendait.
    
    – C’est vrai que tu peux jouer sur les deux tableaux, toi, petit veinard ! Quoique… T’es quasiment toujours du côté femmes, je suis sûre. Non ? Je me trompe ?
    
    – C’est beaucoup plus intéressant. À tous points de vue.
    
    – Ben, voyons ! Et tu dois pas être le dernier – la dernière – à t’activer sur les bites qui s’offrent à toi.
    
    – Avec modération. Je suis quelqu’un de très sélectif au fond.
    
    – Et mon Ewin ? Il y a attrapé avec toi ?
    
    – J’aurais bien aimé. Mais c’est une véritable foire d’empoigne pour s’approcher de lui. Ça a quand même failli. Deux fois. Et les deux fois ça m’est passé sous le nez. D’un rien. Oh, mais je désespère pas, hein !
    
    – Encore heureux ! Parce que je veux absolument voir ça ! Ewin, se faire sucer par un mec, non, mais alors là ! Et sans s’en douter en plus ! T’en bandes déjà, toi, hein, mon cochon ! Rien qu’à l’idée. Ben si, tu bandes, si ! Faut pas mettre des trucs serrés comme ça si tu veux pas que ça se voie. Bon, mais si vous me ...
    ... donniez un petit avant-goût, les garçons ?
    
    – Un avant-goût de quoi ?
    
    – Fais bien l’idiot ! Toi aussi, tu bandes n’importe comment !
    
    – Ce que femme veut…Je me suis levé. Camille aussi. On s’est enlacés. Nos lèvres se sont jointes, nos bassins pressés l’un contre l’autre. Il m’a posé les mains sur les fesses, me les a malaxées. J’ai fourragé dans son corsage. J’en ai fait surgir un sein dont la pointe a roulé entre mes doigts. Et puis l’autre. En bas, je l’ai mis à découvert. À nu. Ses seins, doucement sollicités. De la main. De la langue. Des dents. Et, en même temps, sa queue, amoureusement cernée. Déployée. Palpitante. Il a libéré la mienne, l’a doucement fait aller et venir.
    
    Aglaé nous a rejoints. Elle était nue. Elle s’est emparée de nous. De nos deux queues orgueilleusement dressées.
    
    – Laissez-moi faire !
    
    Elle les a arrimées l’une à l’autre, doucement lissées, bout contre bout. De plus en plus vite. De plus en plus fort. Camille a respiré plus fort, renversé la tête en arrière.
    
    – Attends ! Attendez !
    
    Elle est descendue. Elle nous a pris en bouche. Tous les deux. En même temps. Nos deux queues bien pressées l’une contre l’autre. Elle a fermé les yeux, nous a enrobés de sa langue, a réuni dans l’une de ses mains nos deux paires de roubignolles qu’elle a voluptueusement pétries. Camille s’est lâché le premier. Ses spasmes de plaisir ont résonné dans ma queue. Elle l’a bu. Et je me suis déversé à mon tour. 
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