Les petites stagiaires: Leslie IV,2
Datte: 30/10/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Exorium, Source: Hds
C’est la première fois !
La première fois que je voyais Leslie en robe. Une petite robe rouge à parements noirs qui la mettait magnifiquement en valeur.
– Vous devriez plus souvent. Ça vous va à ravir.
Elle m’a souri.
– Merci.
Et on s’est mis au travail. Le dossier Zalinski pour elle, le dossier Lemaire pour moi. Un dossier urgent auquel je me suis entièrement consacré. Sur lequel j’ai passé toute la matinée. Et encore l’après-midi. Sans me préoccuper le moins du monde de ce qu’elle pouvait faire.
À cinq heures, j’ai repoussé ma souris.
– Là ! Ça y est. C’est bouclé. Il était temps. Et vous, de votre côté ?
Elle n’a pas répondu. Elle fronçait les sourcils, l’air absorbé.
Je suis passé derrière elle, me suis penché par-dessus son épaule.
– Hein ? Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Descendez la page. Encore ! Encore ! Ah, non, mais alors là, cette fois, ça atteint des sommets. Vous étiez prévenue, Leslie. Vous n’étiez pas prévenue ?
– Si !
D’une toute petite voix, à peine audible.
– Attendez-moi là !
Je suis allé passer la tête dans le bureau de Javeau.
– On reste un peu. Un dossier à finir. Je fermerai.
Elle n’avait pas bougé.
Des portes ont claqué. Des pas se sont éloignés dans le couloir. Il y a eu de grands « À demain » retentissants.
Je l’ai prise par le bras, fait lever. Elle n’a pas opposé la moindre résistance.
– Regardez-moi !
Elle l’a fait. Une fraction de seconde. Et puis, elle a baissé la tête.
D’un ...
... doigt sous le menton, je l’ai obligée à la relever. À soutenir mon regard.
– C’est quand même malheureux, avouez, d’être obligés d’en arriver là. Si seulement vous aviez accepté d’y mettre un peu du vôtre. Seulement, ça ! Bon, mais vous savez ce qui vous attend ?
– Oui.
– Quoi ? Dites !
– Une fessée.
– Méritée, reconnaissez !
– Si ! Oui.
Au-dehors, le calme était revenu. Tout le monde était vraisemblablement parti.
Je lui ai fermement enserré le poignet, l’ai fait basculer en travers de mes genoux. Je l’y ai calée, confortablement installée.
Elle s’est abandonnée.
J’ai relevé la robe. Haut. Très haut. Bien au-dessus des reins. J’ai énergiquement tiré sur la ravissante petite culotte blanche, pour la ramener, le plus possible, dans la raie entre les fesses. Pour que ses deux délicieuses rotondités soient bien à découvert. Offertes. Je les ai brièvement contemplées, avec délectation, avant d’y lancer une première claque. Pas bien forte. Une claque-échantillon qui l’a néanmoins fait sursauter. Une deuxième, presque aussitôt, plus appuyée, plus vigoureuse, lui a arraché un petit cri. Une autre encore. Plus déterminée. Et j’ai poursuivi, méthodiquement, une fesse après l’autre, en alternance. À rythme régulier, soutenu. Elle ponctuait chacun de mes coups d’un ahanement rauque. En cadence. Sous mes doigts, la tendre chair se tapissait, sur toute sa surface, d’un rouge ardent du plus bel effet. Je me suis interrompu, quelques instants, pour contempler ...