Le mariage d'Ophélie
Datte: 27/10/2023,
Catégories:
fhh,
hplusag,
amour,
fdomine,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
couplea3,
Auteur: Rincop, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Je rentre de la mer fin août, deux mois c’est bien long même si mon séjour a été très agréable, et surtout, Ophélie me manque. Elle n’est même pas venue pour le week-end du 15 ! Cela fait plus d’un mois que je ne l’ai vue. Prévenue de mon retour, elle m’accueille avec joie. Je suis aux petits soins, elle a préparé toute une panoplie de mezzés pour le dîner.
— Bienvenue, mon amour, depuis le temps que j’espérais que tu rentres.
— Il fallait me le faire savoir, et puis tu pouvais bien venir pour un week-end.
— Non, trop peur de recroiser les deux monstres.
— Je ne crois pas qu’ils soient des monstres, des profiteurs probablement, mais de là à dire des monstres.
— Tu prends leur défense ?
— Pas du tout, mais il ne faut pas exagérer…
— Oui, au fond tu as raison, et il est vrai que je l’ai bien cherché…
— On change de sujet ?
— Tu as raison.
La conversation d’après-dîner porte sur tout et rien. En fait surtout sur le travail d’Ophélie, bien plus chargé que je ne le pensais pour ce mois, car son entreprise envisage d’installer une ligne de production pour un nouveau produit. Elle a fait de nombreuses recherches pour savoir si le bassin d’emploi recelait les compétences nécessaires.
Elle m’invite ensuite à partager son lit, nous échangeons de voluptueuses caresses et câlins, mais lorsque ma main « s’égare » sur son sexe elle me la retire avec douceur.
— Non, je t’ai dit que je m’impose trois mois d’abstinence, et puis avec ...
... mon « aventure » du mois de juillet, je n’ai plus du tout envie. Par contre, je peux t’offrir ça.
Elle se lance dans une fellation. Je ne tiens pas longtemps. Elle avale tout sans dégoût.
— Tu as aimé ?
— Oui, c’était très bon, mais j’aurais aimé partager davantage.
— Je verrai plus tard.
Le mois de septembre se passe ainsi. Je n’y retrouve pas tout à fait mon compte, malgré toute sa tendresse. Un week-end, je lui propose de remettre la cage de chasteté.
— Comme ça, j’aurai l’impression que tu m’aimes encore, tu remettras la clé à ton collier.
— Ce que je te fais ne te le prouve pas assez ?
— Si, mais j’ai parfois l’impression que tu le fais comme une obligation.
— Oui, peut-être un peu. C’est vrai que ma relation estivale a changé beaucoup de choses et que je n’ai plus du tout envie.
— Écoute, je remets la cage, et le jour où tu as à nouveau envie tu me la retires et nous repartons comme avant. Je me sens moi aussi un peu fautif de ne pas t’avoir mieux conseillée.
— Tu n’y es pour rien, mais bon, puisque tu y tiens, je vais t’encager à nouveau, mais je crains que ce ne soit pour longtemps. Nous verrons ça demain, car il va falloir que je t’épile, ça a bien repoussé.
Le lendemain, lorsqu’elle tourne la clé dans la serrure, je me demande si je ne fais pas à nouveau une grosse bêtise.
Les mois se suivent et se ressemblent, des câlins, des caresses, mais aucune relation sexuelle. Octobre, novembre, décembre… trois mois en cage sans interruption sauf pour ...