Chroniques d’un temps jadis : Royaume et Grand-Duché
Datte: 27/10/2023,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... vous connaîtrai mieux, les actes auront priorité sur les paroles !
— Vous tenez toujours à ce que je sois votre épouse ?
La réponse tombe, péremptoire :
— Si vous ne voulez pas être mon épouse, soyez au moins ma maîtresse.
— Je suis très contente que vous sembliez apprécier mes… services…
— Oui, je sens que je vais apprécier beaucoup de vos services !
Avec délicatesse, mais fermeté, Eudes positionne la jeune femme sur le lit afin de passer à l’étape suivante. Anne-Henriette se laisse faire, curieuse de voir comment ça va se passer, car depuis le début, elle découvre petit à petit des sensations plus puissantes et plus jouissives.
Positionné comme il se doit, Eudes s’enfonce délicatement entre les lèvres détrempées. Anne-Henriette frémit de tout son corps :
— Oh mon Dieu !
— Qu’y a-t-il ?
Assez gênée, la jeune femme bredouille :
— Ce… c’est t-trop bon !
— Vous m’en voyez ravi et en même temps étonné !
— Pourquoi donc ?
— Ce n’est pourtant pas la première fois qu’un homme vous explore de la sorte…
Elle rougit un peu plus :
— Non, c’est vrai, mais…
— Mais ?
— C’est nettement mieux avec vous !
— Vous m’en voyez une fois de plus ravi !
Puis il s’enfonce encore plus loin. Spontanément, avec férocité, sa nouvelle maîtresse agrippe ses bras, plantant ses ongles dans la chair. Presque aussitôt, l’étreinte se desserre :
— Oh pardon, Eudes ! Je… je ne sais pas ce que…
— Laissez-vous aller, montrez-moi à quel point vous aimez !
— Ce… ça ...
... ne va pas vous faire mal ?
— Un coup d’épée ou de mousquet fait beaucoup plus mal, vous savez…
Elle sourit, elle hésite un peu. Eudes commence alors ses va-et-vient en elle. La jeune femme frémit, tangue, puis se laisse aller, à nouveau agrippée aux bras de son amant. Son nouveau galant accélère la cadence, elle gémit, mais ne cherche pas à s’évader, bien au contraire : ses mains sont fermement rivées aux bras qui l’encadrent, puis ses jambes enserrent les reins de l’homme qui l’entreprend avec ardeur et vigueur.
Durant ce temps, Eudes, qui est assez souple de sa personne, en profite pour embrasser et dévorer les seins dont les pointes sont tendues vers sa bouche vorace. Puis il remonte vers le cou et la nuque. Anne-Henriette gémit à la fois sous les coups de la verge qui l’explore et sous les baisers brûlants.
— Hmm… hmmm…
Une voix rauque et mâle retentit à ses oreilles :
— Laissez-vous aller, ma douce, laissez-vous complètement aller !
— Ooh !
— Laissez le plaisir vous envahir, jouissez sans honte !
— Hmmm !
— Je veux revoir votre visage devenir si radieux quand vous exultez !
— Non… non… ah… Aaah !
— Osez et donnez-vous complètement à moi !
— Ah… aaah ! Oh oui, oh ouiii !
Une fois de plus, elle jouit, embarquée dans un tourbillon dantesque qui l’emmène au firmament, loin de cette basse terre et de ses innombrables soucis. Cet homme est diabolique ! Jusqu’où l’entraînera-t-il dans ces divines turpitudes ?
Ailleurs, loin…
Très loin, sans ...