1. Les malheurs de Clotilde Ch. 13


    Datte: 22/10/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... quand les mains la tourne sur le dos, elle sent la peur l'envahir, elle pousse alors un cri d'effroi, fragile défense face à ce qui l'attend. Surtout quand ledit cri est étouffé par un bâillon...
    
    Ninon :
    
    Au bout de quelques minutes, elle voit enfin le bout du tunnel. Elle vit alors la fin de son supplice, mais à quel prix! Saisit par une agitation effrénée, son violeur buccal lui met les lèvres, la bouche, l'œsophage, la gorge de sa victime en feu. Avant de consentir afin, à se répandre dans l'intérieur de sa bouche.
    
    De brusques giclées claquent lourdement contre la luette. Sous la morsure de l'orgasme, les mains de la brute se resserrent sur la tête fragile de Ninon, comme elles le feraient sur la coquille d'une noix qu'elles prétendent écraser. La fragile prof croit sa dernière heure venue, le sperme qui l'envahit, la bite en entier en elle, l'empêche de respirer. Son visage devient violet, ses yeux s'exorbitent.
    
    Imperturbable, l'ignoble individu déverse en elle, son foutre à l'amer saveur. Le liquide épais, salé et visqueux, n'a qu'un avantage, atténué légèrement la brûlure de ses muqueuses à vif. Pendant quelques secondes, la belle prof se retient d'avaler. Puis à la fois pour que l'écume du mâle ne lui ressorte pas par le nez, puis pour pouvoir respirer, Ninon doit se rendre et déglutir. Elle sent alors le liquide gluant couler en elle, tout le long de son tube digestif, atteindre son estomac et l'emplir. Sa répugnance lui procure des crampes violentes, qui ...
    ... manque lui faire rendre, ce qu'elle a été forcée d'ingurgiter. Par peur de ce qui pourrait bien lui arriver, grâce à un farouche effort de volonté, Ninon réussit cette fois à se contenir. Jamais au cours de sa vie, la jeune femme n'a éprouvé un tel dégoût.
    
    Son violeur de bouche la lâche enfin. Mais, si brusquement, que à demi-inconsciente comme elle l'est, son crâne part lourdement en arrière, résonnant de façon sinistre contre le sol. Manquant se fêler.
    
    Moi :
    
    Enfin, le nœud à la base de la bite de mon violeur canin se dégonfle. Le nœud a servi à fermer hermétiquement mon sexe, enfin que la semence du chien ne s'échappe pas de sa femelle, qu'il l'imprègne complètement... Les sexes cessent de me violer la bouche. À ma grande tristesse, car cela veut dire, je le sais, que le troisième clébard va s'occuper de moi. Rien que l'idée de me faire de nouveau prendre par un autre animal me fait vomir, provoquant les rire de la foule. Je les supplies quand je vois le dernier chien approcher. Je supplie encore plus quand l'animal se met au-dessus de moi. Je m'humilie, je leurs offre tout ce que j'ai. Je leurs propose d'être la meilleure putain qu'il soit, si ils m'évitent ce nouveau canidé. Je réalise l'inutilité de mes mots quand je sens des mains écarter mes fesses. Quoique je leurs propose, ils pourront l'avoir à force de coups, de tortures ou de viols. Je comprends aussi que me voir violer par un animal est le meilleur spectacle que je puisse leurs offrir.
    
    Par contre quand ...
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