1. Les malheurs de Clotilde Ch. 13


    Datte: 22/10/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... souffrir. Le troisième de ces messieurs, celui qui faisait la conversation un peu plus tôt, prend alors la suite du défaillant. Prenant la place toute chaude, mais aussi la défense de son acolyte. C'est-à-dire qu'il règle les comptes. Il est impossible qu'une vulgaire salope fasse sa loi, pas avec lui en tout cas. Il venge son ami à coups de poings, violemment assené sous le plexus de la malheureuse.
    
    Ninon, traitée en vulgaire punching-ball, se casse en deux en criant. La jeune femme est alors redressée par deux paires de gifles à lui décoller la tête, achevées par un coup du tranchant de la main, qui, l'atteignant sur l'arrête du nez, déclenche une nouvelle giclée de larmes ainsi qu'une hémorragie nasale.
    
    À partir de là, Ninon décide de cesser de lutter, quand une nouvelle queue au gland énorme se presse contre ses lèvres. Désespérée la jeune prof se rend compte qu'elle n'est pas la plus forte, qu'il n'y a aucune aide à espérer, mais surtout qu'en continuant à se refuser, elle risque tout simplement sa vie. Sans oublier qu'elle ne se prend pas pour ce qu'elle n'est pas : une résistante, une combattante. Ninon n'est qu'une petite bourgeoise, faible et fragile. La seule chose qu'elle peut espérer en luttant, c'est de se faire martyriser, ses bourreaux arrivant alors à leurs fins. La jeune femme craint la violence, mais encore plus la souffrance, elle a toujours fait ce qui était en son pouvoir pour l'éviter. Le plus simple, le plus sécuritaire pour Ninon, est donc ...
    ... d'être docile, et au besoin, suivant leurs envie, d'être aussi bien salope.
    
    Moi :
    
    Ce maudit chien qui me laboure la chatte, qui me déchire encore plus, me fait hurler à la mort. Ses griffes maintenant plantées dans mes seins, en rajoutant à l'horreur, à ma souffrance. Je le subis comme une pute, sous les rires de mes tourmenteurs, sous les vivas du public. Comment des êtres humains peuvent-ils être heureux de voir une femme se faire prendre par un animal? De la voir subir un tel martyr? De la voir souffrir autant que je souffre?
    
    J'augmente les volumes de mes hurlements, tandis que le canidé va de plus en plus vite en moi. Me détruisant, arrachant les derniers sentiments que j'ai, atomisant mon humanité, me reléguant au simple état de jouet sexuel pour chien... Je veux mourir ou au moins m'évanouir, mais le liquide que m'a injecté ce fils-de-pute de Greg m'en empêche.
    
    Mon sexe explose, se désintègre, quand juste avant de jouir en moi, le chien enfonce la grosse boule à la base de sa pine dans mon vagin. La douleur est telle, que d'abord, j'ouvre la bouche sur un cri muet. L'air manquant dans mes poumons vide, m'empêche de faire un son. Puis le pire hurlement que j'ai poussée jusque à présent sort enfin de ma gorge.
    
    C'est le signe de départ de l'hallali, le coup de revolver d'une course d'athlétisme. Tandis que le chien attend que la boule dégonfle à la base de sa bite, le public se jette sur moi. Une bite s'enfonce dans ma bouche, me violant la gorge. D'autres se ...
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