1. L’angoisse de la page blanche


    Datte: 22/10/2023, Catégories: fh, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, caresses, Oral jeu, délire, Humour Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... abandonnera(ben ça va être les vacances alors… On abandonne bien les cleps). Les bougeant doucement. Il tirera délicatement sur quelques petites touffes de mon buisson(oui bon, gaffe hein, et ça fait un peu bûcheron, non ? Forêt, buisson, toussa ?). Il ne fera rien d’autre. D’ailleurs, nous y sommes…
    
    Maintenant, il attend. Je n’ai pas même besoin de le regarder pour savoir qu’il sourit(ouais j’suis une mutante ! Une X-woman ! X pour le côté sexe du truc). Oh, il est fier de lui là. Il sait parfaitement quelle sera ma réaction. Mais non. Je ne lui ferai pas ce plaisir cette fois. Je vais me contenir. Je vais tenter de ne pas céder à mon impatience(ou alors j’ai rien à faire d’autre, quoi). Oh ses mains sur moi. Olala. Je vais craquer. Évidemment. Et quand ce sera moi qui lui demanderai d’aller plus loin. Il aura gagné. Il gagne toujours. Ou alors… Je peux tenter de préserver ma dignité en luttant avec courage et volonté(parfaitement oui).
    
    — C’est difficile. Je croyais qu’écrire sur le sexe était simple…
    
    J’ai dit ça en me collant au dossier de(et voilà ! Je suis collée moi aussi…) mon siège. Tout en parlant, entièrement nue(mais il y a du chauffage et youpi la facture), j’ai éloigné mes cuisses l’une de l’autre(pourvu qu’elles reviennent, pfff).
    
    — J’ai envie d’écrire pendant… que tu seras gentil avec moi.
    — Bonne idée ! J’ai envie de savoir pour ton Théobald…
    — Phraste.
    — Tu m’étonnes ! Pas si conne la Cunégonde ! Elle devait en avoir marre de l’appeler ...
    ... Théodore…
    — Phraste. Oooh. M’mm.
    
    Tout en parlant, ses doigts frôlent mes tétons durcis. Il les sent tendus et raides. Il sait que j’adore que mes seins soient pincés(pas besoin de tenailles non plus, hein !). Oh que j’aime ça. Je hais pourtant ce type en cet instant. Oh oui, je le hais là. Mais il craquera le premier. C’est lui qui me suppliera de le libérer de son désir. C’est lui qui m’implorera de le faire jouir. Je vais m’accrocher au texte. Me concentrer.
    
    — Ma description. On dirait une recette de cuisine, pfff. Une touche de ceci. Une pincée de cela.
    
    Je vais l’épouser rien que pour ça. Pour sa manière de me torturer ainsi. Oh le salaud ! Oh, ils pincent si délicieusement ses grands doigts. Oh que c’est bon. Olala. Ouuuf. Oh quel virtuose(memestra ! Memestra !) !
    
    — Oui un peu. Et quand il va la sauter, sa Cuné, on va penser qu’il la touille pour ne pas qu’elle attache au matelas…
    — Ils sont en extérieur. Il fait très beau. Ils feront l’amour dans la nature. Dans. M’mm… Une prairie. Dans l’herbe. M’mm… Oh…
    
    J’adore. Je m’affole. Oh l’affreux personnage. Il maltraite mes mamelons avec une maestria diabolique. Légère pression à la base de mes aréoles, une once de douleur qui plane sur mes bourgeons. Quand il les fait rouler entre ses doigts, un soupçon de souffrance en torture les extrémités(du coup c’est recette culinaire ou comment accommoder mes nibards, et ne lésinons pas, une carte Michelin de mes tétines. Vous êtes gâtés là).
    
    — Non mais quel grand veinard ce ...
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