1. L’angoisse de la page blanche


    Datte: 22/10/2023, Catégories: fh, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, caresses, Oral jeu, délire, Humour Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    Voilà comment c’est arrivé. Ou peut-être devrais-je dire, voilà comment cela aurait pu arriver ? Allez savoir ! Je parle là de mon envie de plonger ma plume dans l’encrier de l’érotisme…
    
    — Ouais. La Cunégonde va se dire qu’il est loin du héros du roman d’aventures, le brave Théo. Pfff. Et subite ? Ben il y a bite quoi…
    — Qu’est-ce que tu dis ?
    — Je dis que…
    
    Il est au lit et me regarde. Je crois bien que je vais épouser ce mec. Moi, mariée ! La vache.
    
    — J’écris un truc.
    — Tu m’as encore piqué un tee-shirt ? Raconte-moi ton truc !
    
    Lui doit être nu sous la couette. Pas loin du double mètre et cent dix kilos. Alors oui c’est vrai, j’adore lui piquer ses tee-shirts.
    
    — Début du siècle. Années 1920/1930. Je peaufinerai. Un texte érotique. Enfin, j’essaie d’écrire un truc érotique. J’ai beaucoup de mal en fait. C’est loin d’être facile ! Il y a un couple. Théophraste et Cunégonde.
    — Ah ben ouais. Déjà les noms c’est du croquignolet ! Théoquoi ?
    — Phraste ! Ce sont des prénoms de l’époque. Euh, je crois.
    — La vache. Il lui fait quoi ton Théochose à la Cunégonde ?
    — Phraste. Il va l’embrasser. On est début du siècle alors bon. Il va prendre tout son temps.
    — Cool. Tu me raconteras la suite, hein.
    — Ben, il va la dévaliser là ? La cambrioler. Bon. Les yeux, c’est fait. Le corps maintenant. Encore qu’elle doit être emberlificotée grave la miss.
    — Et ton Théotruc ? Il lui roule cette galoche ?
    — Phraste. Ça va venir.
    — Ouais. Coller ses lèvres. Et la Cunégonde ...
    ... va l’appeler M. Scotch ou Super-glue. Et sortir sa langue ? De sa poche il l’a sort, cette langue ?
    — Il s’en sort ton Théomachin ?
    — Phraste. Pas trop non.
    
    J’adore quand il m’attire contre lui comme ça. Il a repoussé et bousculé la couette.(il tire, il pousse, un vrai déménageur). Il est déjà si dur !(nous y reviendrons). Et ses mains sur mes hanches(chantons ensemble… Laisse tes mains sur mes hancheeeeu…) sous le tee-shirt noir et large. Ses doigts brûlants(ouilleu) sur mes fesses.
    
    — Désolé, ma belle, mais c’est mon tee-shirt !
    
    J’adore ses yeux sur moi(il les a jetés sur moi ? Dommage…) quand je suis nue. Une impression de détenir un petit pouvoir sur lui(le pouvoir du crâne ancestral). Ou mieux encore. Le puissant pouvoir de le dominer. Ses mains qui enveloppent mes seins(et avec ça qu’est-ce que j’vous mets !). Il est doux et tendre, là. Il sent les pointes de mes seins se dresser vivement sous ses paumes(musique de la piste aux étoiles ou de cirque, hein). Il va devenir un peu moins doux sous peu. Oh oui, c’est sûr !
    
    — Tu mouilles mon ventre Juliette.
    — Oui, je sais…
    
    C’est excitant d’être à califourchon sur lui(yep ! Appelle-moi Bronco !). Son ventre dur(aïe le con !) sous mon sexe. C’est vrai que je suis vraiment humide. Et je coulerai très vite(décidément pour les fuites je suis championne. Le 18 ? Ou serpillière ?). Comment ne pas l’être ? Comment ne pas être excitée par le désir que je provoque chez lui(bon, ça, c’est valorisant, ça) !
    
    — Viens ...
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