1. La Sorcière du Lavomatic


    Datte: 19/10/2023, Catégories: fh, frousses, rousseurs, inconnu, bizarre, fdomine, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, sorcelleri, Humour fantastiq, Auteur: DrFaustroll, Source: Revebebe

    ... n’avais pas croisé âme qui vive depuis que je m’étais éloigné de mon itinéraire habituel. J’étais en train de chercher un point de repère qui m’aurait permis de retrouver mon chemin quand mon regard fut attiré par une éclatante lumière blanche de néons au bout d’une petite impasse. Là, dans la ruelle, se tenait un lavomatic rutilant. C’était un minuscule local où s’alignaient machines, séchoirs et quelques sièges pour les clients. La devanture indiquait simplement en grosse lettre peinte en bleu sur fond blanc : « Lavomatic ». Cela semblait ouvert, mais complètement désert. Je décidai de pousser la porte et de profiter du coup de bol pour jeter mes vêtements dans la première machine venue. Puis je m’effondrai sur un des sièges en plastique et me laissai bercer par le ronronnement du tambour en scrollant mollement sur mon téléphone pour ne pas m’endormir complètement.
    
    Je fus tiré de ma léthargie par un courant d’air frais et le claquement de la porte vitrée. Devant moi, se tenait un étrange personnage, dissimulé par plusieurs couches d’épais vêtements sales et usés par le temps. Sur son dos, un énorme sac-poubelle semblait contenir une masse de linge roulé en boule. Une imposante parka et une capuche m’empêchaient de voir son visage. L’intrus ne m’adressa pas la parole ni le moindre regard, et se dirigea en silence vers le fond de la pièce. Complètement immobile, je l’observai du coin de l’œil vider l’intégralité de son sac au sol et fourrer tout le linge dans les quatre ...
    ... machines installées contre le mur.
    
    L’opération prit un certain temps, mais à aucun moment le nouvel arrivant ne sembla remarquer ma présence. C’était comme si j’étais complètement invisible. Je n’étais de toute façon pas d’humeur à faire la conversation à un étrange inconnu, mais la suite des événements prit une tournure inattendue. Face à la dernière machine déjà remplie à ras bord, l’inconnu commença à retirer sa parka, révélant une épaisse chevelure rousse et emmêlée qui lui tombait sur les épaules. Il jeta son manteau dans le tambour, puis entreprit de se débarrasser de son pull-over miteux, de son t-shirt délavé, et de son épais treillis. Je restais immobile et silencieux. Celui que j’avais pris pour un vagabond était en réalité une femme, probablement dans la trentaine, qui se tenait maintenant en sous-vêtements à quelques mètres de moi. Gêné par cette absence manifeste de pudeur élémentaire, je tournai le regard vers la baie vitrée qui donnait sur la ruelle, mais celle-ci semblait toujours aussi vide. J’étais le seul témoin de cet étrange spectacle. Mon regard se tourna à nouveau vers l’inconnue et je la vis faire sauter son soutien-gorge et sa petite culotte avant de fermer le tambour de la machine et de lancer le programme.
    
    Je restai bouche bée, les yeux rivés sur le corps de cette femme qui me tournait le dos, penchée sur les machines. Elle était complètement nue. Peut-être n’avait-elle tout simplement pas remarqué ma présence ? J’étais complètement désarçonné ...
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