1. Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - Tante Cécile (III) - Colette


    Datte: 18/10/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Egrewam, Source: Hds

    ... comme tout à l’heure dans son con.
    
    Je me retire de sa bouche, et laisse tante Cécile tourner sa langue sur mon gland. Elle salive et lèche comme si elle mangeait une glace. Puis elle engouffre ma queue tout entière. Elle se jette à califourchon sur moi, s’assoit sur ma bite. Je presse ses seins et dis à Colette de venir les embrasser.
    
    Elle s’accroupit au-dessus de moi et embrasse les seins de tante Cécile qui rebondissent sous les coups qu’elle se donne avec ma pine. Colette lui suce les tétons, tante Cécile s’accroche à sa tête, elle dit des obscénités à son oreille en s‘empalant sur ma verge.
    
    Et moi, pervers, je n’ai plus qu’à sortir ma langue pour atteindre la fente de ma cousine. Je lui lèche la fente, le bouton, glisse entre ses fesses. Elle sent ma langue s’enfoncer, pendant qu‘elle tète sa tante, qui gémit : - Tu vois comme je m’empale sur sa queue... Regarde comme il nous baise, ma chérie, tu vois, c’est tellement bon ! Il lèche ta petite fente ? Ça te fait du bien ? Tu ...
    ... voudrais qu’il te fasse jouir avec la langue aussi ?
    
    - Oui...
    
    - Il va te faire crier, ma chérie... avec sa langue, comme ça sur ta petite chatte, il va te lécher jusqu’à plus soif... Dis-lui...
    
    - Oui...
    
    - Non, dis-lui, ma chérie... dis-lui ce que tu veux qu’il fasse.
    
    - Lèche-moi. Encore... Ecartes mes fesses... Oui comme ça ! Oh, c‘est bon !
    
    - Vas-y ! Lèche la petite cochonne et baise-moi !
    
    Je besogne tante Cécile, je lui tiens les fesses et lui donne de grands coups de queue. Elle respire de plus en plus vite jusqu’à s’arc-bouter et jouir comme une chienne qui couine sur moi, et moi, je gicle et je râle longtemps sous le cul de Colette.
    
    Nous reprenons nos esprits. Tante Cécile et moi venons tous deux lécher Colette partout. Nos langues l’écartent. Elle se tord, soulève son derrière, l’envie la reprend. Mais tante Cécile décrète : - Ça suffit, va te laver, petite cochonne !
    
    Elle se lève, se rhabille, et, avec un clin d‘oeil, lance qu’il ne faut pas abuser des bonnes choses… 
«1234»