1. Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - Tante Cécile (III) - Colette


    Datte: 18/10/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Egrewam, Source: Hds

    - Debout, Pierre. Il fait trop beau pour rester au lit aussi tard !
    
    Je me réveille en sursaut. Tante Cécile, penchée au-dessus de moi dans la pénombre de la chambre aux volets clos, me regarde en souriant. Je suis nu et la queue raide, comme tous les matins au réveil...
    
    - Déjà prêt à l'ouvrage ? Décidément, tu n'es jamais repu !
    
    Et elle ajoute :- Tu tiens de ta mère, une obsédée, comme moi...
    
    Elle se penche, pose sa bouche sur mon gland, je me cabre, mais elle se retire...
    
    - Allez, fainéant, il est presque onze heures... J’ai encore plein de choses à faire en ville aujourd’hui... Et Colette est déjà levée... Elle est très, très impatiente de revoir son cousin préféré…
    
    +Je dois ici ouvrir une parenthèse : Colette est la fille adoptive du frère de mon père, et nous étions, elle et moi, les aînés de la demi-douzaine de cousins et cousines qui passions nos vacances d‘été chez tante Cécile, dans la grande villa sur la côte...
    
    Je revois nos jeux d‘adolescents. Dans la piscine, je jouais à faire surface en m‘ébrouant comme un phoque, histoire de faire sentir à Colette la raideur de ma queue. Je glissais une main entre ses fesses et lui vissait un doigt dans le cul en le faisant tourner pendant qu‘elle me branlait.
    
    Ces “jeux interdits“ n‘échappaient pas, bien-sûr, à tante Cécile, et elle entreprit “l‘éducation“ de sa nièce. Ce fut tonton Albert, l‘amant de ma tante, qui dépucela Colette... Tante Cécile aimait affirmer : “Elle deviendra encore plus cochonne ...
    ... que moi, ce qui n‘est pas peu dire !“
    
    Je me rends sur le balcon. En bas, sur la véranda, Colette, attablée devant un jus d'orange, vêtue en tout et pour tout d'une petite culotte et d'une chemisette, me fait de grands signes.
    
    Lorsque j'arrive sur la terrasse, elle me saute au cou, on se fait la bise, on s'embrasse, on se serre. Collée contre moi, elle ne peut pas ne pas sentir l'érection qui gonfle mon slip. Elle glisse la main. À travers l‘étoffe, elle effleure ma tige dressée. Elle lève vers moi un regard faussement innocent : - Comme elle est dure…Ma queue palpite, sa main se pose sur la bosse qui déforme mon slip. Elle referme ses doigt autour du membre, mais ne fait aucun mouvement. J‘ai envie d‘être branlé, je commence à bouger mon bassin, mais Colette retire sa main.
    
    Elle se met assise bien droite, ses deux pieds posés sur sa chaise, les cuisses largement écartées. Sa petite culotte s‘insinue étroitement dans sa fente et dans la raie des fesses, des petits poils s‘échappent sur les côtés.
    
    - Tu sais, je vous ai entendus, tante Cécile et toi... Tu l'as baisée toute la nuit...
    
    La petite perverse a les joues rouges et les yeux brillants en ajoutant :- Dis, tu me le fera aussi ? J‘aimerai bien voir ta queue juter… Tu as envie de gicler sur ma petite culotte ?
    
    - Je l‘ai déjà fait... La nuit passée, tante Cécile me l‘a fourrée sous le nez... Je connais ton odeur...
    
    Je suis comme hypnotisé par sa chatte calquée à travers le fin tissu. Il me semble la voir ...
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