La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1618)
Datte: 17/10/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... être encore, un homme ! Là, je n’étais ni beau, ni fort, ni digne d’être respecté, je n’étais qu’une chose répugnante et lamentable, une chose vulnérable et faible, une chose foulée au pied, broyée, écrasée devant renoncer à toute forme de fierté, je n’étais qu’un animal domestiqué, qu’un chien obéissant, qu’une larve insignifiante, qu’un ver de terre rampant en quadrupédie dans la boue. Oh, mon dieu… pourquoi fallait-il que j’en passe par là pour éprouver une satisfaction totale, un bonheur absolu, un orgasme cérébral foudroyant ? Je nageai dans mon élément, l’humiliation ! Même ma queue enserrée, enfermée tentait de s’épanouir ! Elle frétillait, s’emballait dans cet étui métallique beaucoup trop étroit déclenchant des ondes bienfaitrices irradiant ma colonne vertébrale, mes muscles, faisant palpiter et battre mon anus comme battait mon cœur par des spasmes anaux contractant et décontractant mon œillet … Soudainement, Markus tirait brutalement sur la laisse, pour stopper mon avancé dans cette boue infecte.
- Dis-moi la chienne, je suis certain que tu as envie de faire un petit pissou ! N’est-ce pas ?
Markus ne me laissait pas répondre.
- J’en suis sûr, je vois bien que tu tords du cul depuis un moment déjà. Alors tu vas pisser là, comme une petite chienne… Tu sais comment elle pisse, les chiennes ?… Elles écartent bien leurs cuisses, rabaissant l’arrière-train, posant quasiment leur derrière proche du sol et se soulageant ainsi. Alors fais-moi voir que tu es une ...
... bonne petite chienne !
Odieux, cet homme était ignoble, infâme et détestable. Son gout pour l’humiliation était sans fin, ni limite… Oui, sans fin, sans limite, car il savait réactiver mon excitation, mon souhait de me déshonorer davantage, de vivre cette avanie dans chacune de mes terminaisons nerveuses pour que celles-ci renvoient à mon cerveau les plaisirs de la déliquescence, de la décomposition de mon être. L’esprit vidé, le cœur et mon anus battant, enivré par cette humiliation écrasante, je vidais ma vessie comme exigé. Dans mes veines coulait aussi le besoin de sombrer plus bas encore, je m’employais alors, avec zèle, à coller mon ventre dans la boue à ramper tel un serpent jusqu’à sortir de cette ornière désormais souillée de ma pisse… Je grelotais… alors pour me réchauffer, Markus frictionnait sauvagement mon corps d’herbe fraichement coupée, comme il aurait bouchonné un cheval, pour nettoyer ma peau et lustrer mon poil, même si je n’avais plus un poil sur mon corps. Puis, d’un coup de pied sur les fesses, il me faisait reprendre ma marche en quadrupédie à toute allure… A plusieurs reprises, je trébuchais, m’affalais au sol, me relevais, repartais, jusqu’à ne plus avoir un cheveu de sec tant je transpirais. Là, dans la clairière, que nous venions d’atteindre, je n’avais vraiment plus froid, le soleil d’ailleurs me dardait le dos et le cul…
- A cinq minutes d’ici, nous serons arrivés à la Maison Forestière du Domaine des Evans. C’est ici, avec moi, espèce de ...