La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1618)
Datte: 17/10/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1617) -
Chapitre 38 : La Maison Forestière –
Celui d’une pute soumise, d’une chienne lubrique et débauchée, d’un esclave strictement obéissant et sincèrement respectueux… Je me déplaçais maintenant à quatre pattes, nu, tenu en laisse, conduit en pleine nature. J’appréciais l’odeur de la terre, de l’humidité du sous-bois, de l’herbe, je prenais goût à être ainsi considéré, tel un chien qu’on baladait ou qu’on emmenait pisser. J’avançais en écoutant les pas et les sifflotements de Markus dans mon dos. Il semblait heureux de me voir ramper devant lui, de voir mes couilles lestées se balancer entre mes cuisses écartées. Le sol était plutôt herbeux et souple. Parfois mes mains, mes genoux et mes pieds s’enfonçaient un peu plus dans la terre humide, parfois s’écorchaient sur des petits cailloux. J’évitais les ronces et les racines, visant plutôt la mousse et les feuilles séchées, mais au détour du chemin, j’arrivais face à une ornière boueuse et comblée d’eau provoquée par un récent passage de grosses roues d’un tracteur. Je ralentissais, puis m’arrêtais en cherchant rapidement à contourner ce passage vaseux. Sauf qu’à cet instant, un coup de pied dévastateur entre mes jambes me faisait bondir en l’air et retomber à quelques centimètres de cette ornière boueuse. Par réflexe, je me recroquevillais et mes deux mains se posaient sur mes génitaux. Markus alors posait ...
... l’un de ses pieds sur mes cuisses. Cet acte simple, mais terriblement exigeant et conquérant suffisait à me faire comprendre ce que cet homme vicieux et pervers à souhait, revendiquait. Je lui dévoilais ma nouille et mes burnes, écartais les jambes en grimaçant pour qu’il puisse faire ce qu’il voulait de moi. Avec son sourire sadique, il posait la semelle crottée de sa chaussure sur ma bite en cage, y pesait de tout son poids, avant de me fixer dans les yeux. Après quelques secondes de cet acte odieux, il se raclait la gorge et crachait un mollard atterrissant sur mes lèvres.
- Lèche, la chienne !, ordonnait-il sans ambages
J’obéissais, ouvrais la bouche et laissais ce crachat épais glisser dans ma bouche. Alors, il ôtait son pied de ma nouille, puis d’un simple geste de tête, il me faisait signe de me relever.
- Avance, droit devant, grosse salope !, me sommait-il, de la boue ou pas, tu avances droit devant, peu importe où tu poses tes pattes, le chien …
Je me remettais à quatre pattes, et pas après pas, glissais peu à peu dans la boue du chemin, y trainant mes bras, mes jambes et mes pieds, progressant ainsi en relevant au maximum mon ventre pour que celui-ci ne touche pas cette eau sale, froide et souillée d’une bonne épaisseur. Ma fierté se brisait en mille morceaux, je me vautrais dans la gadoue épaisse, dans la fange, et là, ce n’était pas qu’une expression… Markus me poussait vers le fond, il me rabaissait et m’obligeait à ne plus être celui que je croyais ...