1. Punition


    Datte: 12/10/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le licencieux, Source: Hds

    ... qu’elle se fait défoncer la chatte.
    
    Je sens que son plaisir monte, se presse à ses lèvres mais je ne veux pas lui accorder.
    
    Je l’arrache à l’emprise des deux hommes et je la remets dans le coffre.
    
    Je démarre bruyamment.
    
    Je suis terriblement excité par ce qui vient de se passer. Mais la colère est toujours là.
    
    Evelyne doit expier pour que je me calme.
    
    Je m’éloigne du parking puis m’arrête sur un terrain vague un kilomètre plus loin.
    
    Je sors Evelyne du coffre, le referme et la bascule à plat ventre.
    
    Je laisse tomber mon pantalon puis je lui écarte les fesses.
    
    Elle comprend et supplie :
    
    — Non, s’il te plait, pas sans lubrifiant.
    
    Je sais que je vais lui faire mal mais ma colère en a besoin.
    
    J’appuie mon gland et je pousse lentement.
    
    Ma queue est épaisse et j’ai du mal à dilater sa rondelle.
    
    Elle gémit puis elle crie lorsque je pousse encore.
    
    Je marque une pause. Je ne veux pas la blesser.
    
    Juste la punir !
    
    Soudain mon gland est comme aspiré et aux cris d’Evelyne succèdent bientôt ses gémissements.
    
    Sa respiration s’accélère. Ses mouvements de bassin cherchent ma queue. Je m’enfonce violemment, mes couilles battant ses fesses à chaque coup de boutoir. Et plus je suis brutal plus son plaisir augmente.
    
    Le mien aussi car l’absence de lubrifiant décuple mes sensations.
    
    Evelyne se met à trembler. C’est le signe d’un orgasme imminent.
    
    Un plaisir que je ne veux pas lui accorder.
    
    Je ne peux plus rester dans ses fesses mais ...
    ... j’ai envie de jouir.
    
    L’excitation me rend brusque.
    
    Presque violent.
    
    Je tire Evelyne hors de la voiture par les cheveux puis je plonge la queue dans sa bouche et je la baise.
    
    Ma colère s’évanouit avec le sperme que je libère sur sa langue et qu’elle avale docilement.
    
    J’attends quelques minutes puis j’ouvre la porte passager avant.
    
    Elle s’installe en silence et je prends le chemin de la maison.
    
    A peine revenus dans la ville, elle pose la main sur ma cuisse et lâche :
    
    — Je te demande pardon chéri.
    
    — C’était qui ?
    
    — Un gars de la salle de sport. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je ne recommencerai plus je te le jure.
    
    Lentement je sens la tendresse balayer les derniers sursauts de ressentiment et je réponds :
    
    — Je suis désolé de t’avoir fait mal. Moi non plus je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai ressentis un besoin irrépressible de te punir.
    
    Je sens sa main caresser ma nuque. Puis elle murmure :
    
    — Ça m’a plu d’avoir un peu mal. Ta ceinture et puis tout à l’heure quand tu es rentré. J’ai l’impression que ça a décuplé mon excitation.
    
    Elle caresse encore ma nuque puis ajoute : et avec les routiers ça m’a plu que tu m’obliges.
    
    Je souris puis je pose la main sur sa cuisse.
    
    — Tu aurais aimé jouir ?
    
    — Oui, mais ça m’a plus aussi que tu ne m’y autorises pas. Je ne l’avais pas mérité.
    
    Je garde les yeux fixés sur la route sans rien dire puis je la vois s’ouvrir et je descends la main sur sa chatte.
    
    Elle se cale dans son siège, ferme ...