1. Punition


    Datte: 12/10/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le licencieux, Source: Hds

    ... brusquement.
    
    Elle le rejoint et ils s’embrassent longuement.
    
    Mon sang recommence à bouillonner.
    
    Je me rapproche silencieusement et me dissimule derrière une pile de cartons à dix mètres d’eux.
    
    Evelyne défait le pantalon de l’homme et saisit sa queue. Il la plaque violemment contre le transformateur, lui soulève une jambe et la pénètre d’un grand coup de reins.
    
    Je sens la fureur qui m’empourpre.
    
    Je sors de ma cachette et me rue sur l’homme que j’arrache à son étreinte.
    
    Je l’envois au sol d’un uppercut au foie puis je lui mets le visage en bouillie.
    
    Evelyne hurle. Me supplie d’arrêter. Mais ma rage est trop forte. Je donne encore un coup de pied dans le ventre puis je saisis Evelyne par le bras en grognant :
    
    — Ah, t’as envie de te faire baiser salope. Tu ne vas pas être déçue.
    
    Je la traine jusqu’au parking.
    
    Elle perd ses chaussures et me supplie d’arrêter mais ma colère ne veut pas retomber.
    
    Je commande l’ouverture à distance du coffre de l’Audi où je la jette.
    
    Puis je démarre sur les chapeaux de roues.
    
    Je roule en direction de la périphérie de la ville jusqu’à un parking de routiers où je sais trouver des amateurs.
    
    L’espace est éclairé à la seule faveur de la lune.
    
    Je stoppe entre deux camions puis je tire Evelyne du coffre.
    
    Elle est en pleur.
    
    Je la traîne devant un Volvo rouge où je lui arrache sa robe alors que trois gaillards bien en chair s’approchent.
    
    Lorsqu’ils sont suffisamment prêts, je déclare :
    
    — Cette ...
    ... salope est à vous messieurs.
    
    Aussitôt trois paires de bras musclés se tendent vers elle.
    
    Evelyne crie et les hommes s’arrêtent.
    
    Je les incite à continuer en assurant qu’elle adore ça.
    
    Evelyne me supplie mais je ne l’écoute pas.
    
    Le plus petit, ventripotent défait son pantalon et approche sa queue de la bouche d’Evelyne qui crie :
    
    — Non, non
    
    Mais je la calme en la giflant et en criant plus fort qu’elle :
    
    — La ferme et suce, salope !
    
    Puis je la saisis par les cheveux pour approcher sa tête.
    
    Je vois sa mine de dégoût.
    
    Elle refuse d’ouvrir les lèvres alors je défais ma ceinture et je lui fouette les fesses jusqu’à ce qu’elle cède.
    
    Dix coups sont nécessaires avant qu’elle ouvre la bouche.
    
    Elle écarte timidement les lèvres et je pousse aussitôt sa tête pour qu’elle entre toute la bite.
    
    Elle a un haut le coeur. Semble hésiter.
    
    Alors je hurle :
    
    — Dépêche-toi !
    
    Elle s’exécute et je vois bientôt qu’elle y prend plaisir.
    
    Elle a toujours aimé ça !
    
    Les deux autres routiers commencent à se branler et je fais un signe de tête à celui qui me regarde.
    
    Il se positionne aussitôt derrière Evelyne et la pénètre.
    
    Il la baise comme un lapin et éjacule sur ses reins.
    
    L’autre prend le relai tandis qu’un quatrième larron présente son membre devant la bouche d’Evelyne qui vient à peine d’avaler la semence du précédent.
    
    Cette fois elle ne se fait pas prier. La queue est plus grosse et lui plait sans doute davantage.
    
    Elle suce tandis ...