1. L'arroseuse arrosée


    Datte: 04/07/2019, Catégories: fh, cocus, inconnu, grossexe, fépilée, jardin, fdomine, vengeance, Masturbation gifle, Auteur: Martin, Source: Revebebe

    ... épais et quand il est un peu dedans, de quelle façon il enfonce, sans autre discours, le reste de cette longue perche charnue en une fois.
    
    Adeline crie de joie.
    
    Théo attrape ses nichons et commence à la buriner avec détermination. Adeline s’agrippe tant qu’elle peut aux draps de lit et tâche de faire durer son plaisir. Mais très vite, une sensation merveilleuse envahit les tripes et elle ne peut s’empêcher de jouir pour la troisième fois. Sans conteste, la meilleure !
    
    Je jouis en même temps qu’elle, mais elle ne le voit pas. Je ne lui en parle pas non plus.
    
    Après la soirée avec Théo, notre relation est devenue étrange : fondamentalement normale, dans tous les domaines, également au niveau sexuel, mais parfois, quand Adeline repense à ma faute, elle ressent le besoin, incontrôlable affirme-t-elle, de me punir.
    
    Toutefois Théo ne reviendra pas. Non que quiconque soit déçu de sa prestation, mais, quelques jours après sa visite, il s’est épris d’une autre femme et veut lui être fidèle. Je ne l’ai d’ailleurs plus revu au bistrot non plus.
    
    Au bout de plusieurs mois de ce renouveau d’amour et de plusieurs verres partagés sur le canapé, Adeline se met à me révéler quelques secrets enfuis en elle.
    
    — Tu sais, mon chéri, je n’ai pas toujours été franche avec toi. Bien avant ta fameuse soirée, je fantasmais déjà : je ne peux pas l’expliquer, mais je voulais plusieurs hommes dans mon lit. Et à chaque fois que tu rejoignais tes copains, je rêvais que tu les ramènes ...
    ... ici pour moi. Je me masturbais en y pensant.
    — Ah bon ?
    — Comme je n’osais pas te l’avouer et qu’il n’était pas question pour moi de le faire à ton insu, il fallait que je trouve un prétexte.
    — Et tu l’as trouvé sur mon boxer !
    — J’avais ainsi la mainmise sur toi et pouvais te contrôler à ma guise. Jusqu’à te faire subir l’affront suprême. J’y ai même pris du plaisir, en t’accusant de tout, alors que tu étais sincère.
    — Mais c’est dégueulasse, ce que tu as fait ! Tu m’as volontairement humilié pour tout simplement pouvoir baiser à ton aise avec plusieurs mecs, tout enME culpabilisant !
    — Oui, je sais, c’est moche. Je te demande pardon…
    — Et pourquoi tu ne m’as pas parlé de ton fantasme ? Ça se fait, non, entre personnes qui s’aiment !
    — C’est pas facile, tu sais, ce n’est pas comme si je rêvais qu’on fasse l’amour dans le train ou que tu me sodomises. D’ailleurs, tout cela, tu me l’as déjà fait sans que je te le demande !
    — Et tu penses que j’aurais été fâché si tu m’en avais parlé ?
    — Oui, je le pense bien.
    — C’est con, parce que moi aussi j’avais un fantasme : te mater pendant que d’autres hommes te baisent ! Drôle, hein ?
    
    Adeline tombe des nues. Elle devient subitement l’arroseuse arrosée ! Elle fond en larmes, tambourine ma poitrine de ses poings :
    
    — Pourquoi tu ne m’as jamais rien dit ?
    — Comme quoi, tu vois, si seulement nous avions discuté de tout ça calmement autour d’un verre, comme maintenant, on aurait été très heureux pendant cette… fucking year ...