L'arroseuse arrosée
Datte: 04/07/2019,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
grossexe,
fépilée,
jardin,
fdomine,
vengeance,
Masturbation
gifle,
Auteur: Martin, Source: Revebebe
... mais il est souvent là en même temps que nous. On dit qu’il est architecte d’intérieur. J’ai remarqué qu’il a pas mal de succès auprès des femmes, pas seulement parce qu’il est beau et black, mais aussi très sympa. J’ai hâte d’être samedi soir !
Samedi, vingt-deux heures trente. J’entre dans le hall, me débarrasse et invite Théo à en faire autant.
Adeline regarde la télé, un verre de vin à la main. Elle est habillée de manière plutôt sexy, sans avoir l’air d’une pute pour autant. Pas de trace de soutien-gorge sous son croise-cœur, juste deux tétons qui pointent sous le léger tissu. Difficile toutefois de savoir si elle porte une culotte sous sa jupe. Elle a rangé ses affreuses pantoufles au profit de jolis escarpins.
Ma femme semble ne pas encore nous avoir entendus entrer, noyée dans ses pensées ou… dans son vin… Elle sursaute lorsque je lui adresse la parole.
— Ma chérie, je te présente Théo, un ami du bistrot. Je l’ai invité à venir goûter à ton… vin.
Adeline se lève du canapé et ouvre de grands yeux aussi ébahis que ceux de notre nouvel ami black, ceux d’enfants découvrant leurs cadeaux de Noël !
Manifestement le courant passe bien entre eux. Et même avec moi. Nous bavardons de tout et de rien, surtout de rien, jusqu’au moment où Adeline prend les devants :
— Théo, si j’ai bien compris, tu es architecte d’intérieur. Tu dois avoir envie de visiter le reste de la maison, non ?
Sans attendre la réponse, Adeline est déjà debout et, contrairement ...
... à son habitude, elle ne tire pas sur sa mini-jupe pour la remettre en place.
— Je passe devant. Suivez-moi tous les deux pour la visite !
Dans l’escalier, la fente de ma femme est parfaitement visible, répondant indiscutable à la question que Théo et moi nous nous posions : culotte ou pas de culotte ?
Adeline fait rapidement le tour de l’étage : d’abord la seconde chambre et la salle d’eau qu’elle juge d’emblée sans intérêt, pour s’attarder dans notre chambre dont la déco devrait, selon elle, plaire davantage à Théo.
Elle se dirige tout de suite vers la fenêtre et regarde les lumières de la ville au-dehors.
— Et que penses-tu de la vue ? dit-elle
— Superbe vue sur le parc, dit Théo en regardant ma femme plutôt que le paysage.
— Il paraît que, la nuit, il s’y passe des choses étranges ? De jolies dames y violent de beaux messieurs, à ce qu’on raconte.
— Ah oui ?
Adeline sent qu’il se tient juste derrière elle. Il pose délicatement ses mains sur ses épaules et elle se penche légèrement en arrière, en signe d’approbation. Elle sent la chaleur de son corps viril et sa chatte devient aussi humide qu’une vadrouille de marine.
Les mains noires glissent lentement le long des bras blancs jusqu’à ses hanches et Théo pousse son corps contre les fesses de ma femme.
Adeline se sent belle et désirée et, elle toujours si dominatrice, ne peut plus se contrôler. Pourtant, elle veut que Théo prenne l’initiative. Son souhait est exaucé : elle ne doit pas attendre ...