Encore Anna - Histoires de Sexe

Encore Anna

... arrivées à l’étage, nous nous sommes souhaité bonne soirée. Une fois la porte refermée, Anna me prit dans ses bras et se colla contre moi. Nous avons partagé un baiser prolongé.

Une fois détachées, j’expliquai Mireille à Anna.

— Elle a emménagé l’été dernier. C’est une veuve pas toute jeune, plus de quatre-vingts ans. Très sympa. Elle a sonné un jour, Alain n’était pas là. J’étais en train de bronzer sur la terrasse et j’avais juste enfilé un peignoir pour lui ouvrir. J’étais très surprise, elle était, elle-même, en peignoir à trois heures de l’après-midi. Elle s’excusa du dérangement, mais elle voulait me poser une question. Je lui proposai d’entrer. Elle alla directement vers la terrasse et, voyant les transats, m’expliqua sa venue.
— Nous ne nous connaissons pas bien, mais je suis une vieille dame qui a toujours aimé le soleil et la nature. Je ne sais pas à qui d’autre demander si on a le droit de se mettre toute nue sur la terrasse, j’ai la même que vous, mais pas la même orientation.

Je dois dire que je suis restée un peu la bouche ouverte.

— Vous comprenez, avec mon mari nous étions parmi les pionniers du naturisme.

Je lui expliquai qu’il n’y avait aucun problème puisqu’il n’y avait pas de vis-à-vis et que moi-même, je m’exposais au soleil dans le plus simple appareil. Je lui avais proposé un jus de fruits qu’elle accepta. Je lui proposai même d’aller voir sur la terrasse pour qu’elle se rende bien compte. Et quand je suis revenue, elle était ...

... allongée sur l’un des transats, toute nue.

Anna était morte de rire

— Je ne l’aurais pas vue dans l’ascenseur, jamais je n’y aurais cru à une histoire pareille.
— En plus, je te jure, elle est pas mal du tout, enfin, pas miss monde, mais à son âge, super bien. Elle m’a regardée et elle m’a dit que je pouvais me remettre au soleil. C’était gentil, j’étais chez moi ! Comme tu l’as vue, elle est plutôt genre petit modèle, très mince, moi à côté je faisais massive. Quand j’ai retiré mon peignoir, elle m’a fait la remarque que j’étais complètement épilée comme elle. Elle ajouta qu’elle l’avait fait quand elle était devenue trop grise à cet endroit-là, et que les cheveux, ça allait, mais les poils, non. On a passé un moment super.
— Tu l’as revue après ce jour-là ?
— Une seule fois après la disparition d’Alain, mais là, elle était habillée.
— Tu veux une bière ?
— Non, un jus de fruits, si tu as.

Je l’aurais parié, quand je suis revenue avec les verres, Anna était nue sur le transat. Quand je m’approchai, elle m’attira à elle pour m’embrasser.

— Montre-moi !
— Te montrer quoi ?

Juste pour faire durer le plaisir

— Tes seins, bien sûr dit-elle en riant.

J’enlevai le chemisier puis le soutien-gorge. Je frottai mes seins en les libérant, mes pointes durcirent immédiatement.

Je me penchai vers Anna qui se saisit du sein gauche et aspira le mamelon entre ses lèvres. Je reçus en retour une sorte de petite décharge de plaisir qui me donna la chair de poule et des ...