1. Belle des champs


    Datte: 06/10/2023, Catégories: fh, inconnu, campagne, cérébral, caresses, Oral pénétratio, totalsexe, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... cérébrale !
    — Un peu quand même… mais il m’arrive souvent de jouir dans le feu de l’action.
    — Je te le souhaite, sinon ça serait assez triste…
    
    C’est alors que j’ai une idée : je glisse ma main vers son pubis, mes doigts bien décidés à venir explorer son intimité. Elle proteste mollement :
    
    — Tu me fais quoi, là !?
    — J’ai envie de t’entendre jouir !
    — Pourquoi ?
    
    Même si je n’ai pas à me justifier, je lui explique quand même :
    
    — Parce que j’ai envie d’entendre le son de ta voix quand tu décolles, c’est aussi simple que ça. Tu as bien entendu la mienne.
    — Je te signale que ma chatte est encore gluante…
    — C’est un lubrifiant naturel, ma chère Gwladys. Et puis, mon sperme m’appartient, à ce que je sache !
    
    Elle me sourit :
    
    — Tous les hommes ne disent pas ça.
    — Je ne suis pas tous les hommes…
    — Hum-hum, j’vois ça !
    
    Tout en la besognant au mieux, de tout mon art, je taquine voluptueusement son petit bouton rosé niché dans son intimité détrempée, mélange de cyprine et de sperme. Elle vibre doucement, fermant souvent les yeux, se mordillant les lèvres.
    
    — Hmmm… hmmm…
    
    Je continue mon petit jeu pervers, elle frémit de plus en plus, je sens confusément qu’elle va bientôt déflagrer. J’adore voir une femme jouir, je prends mon temps pour pouvoir contempler ce beau spectacle. Je suppose que c’est l’une des raisons pour lesquelle je contente diverses femmes mariées, et que parfois, elles communiquent mes coordonnées à des consœurs pas bien loties…
    
    — Ah oui ...
    ... ! Oui ! Oui !! Continue ! Défonce-moi !
    
    Très obéissant, je m’exécute, ravageant sa chatte en fusion, tandis qu’elle déborde de mille petits cris. Puis je n’y tiens plus, je me vautre sur elle, mon corps collé au sien, je l’embrasse goulûment, cette femme me fait trop d’effet ! Elle répond à mon baiser sauvage, tandis que je me déverse abondamment en elle. Nous nous dévorons ainsi durant de longs instants, jusqu’au moment où elle explose une nouvelle fois :
    
    — Hm… hmm… Oh ouiii ! Oh oui, comme ça ! Continue ! Aaah !
    
    Jolie chanson qu’une femme en train de jouir sans entrave !
    
    Tremblante, elle récupère peu à peu, toujours captive, plaquée contre moi. Comme je suis un gros cochon, je lui propose de sucer mes doigts. Elle susurre :
    
    — T’es un gros vicieux !
    
    Ce qui ne l’empêche pas d’ouvrir les lèvres…
    
    Après cette entrée en matière particulièrement réussie, il serait bon de voir si on peut, elle et moi, passer à la suite. De ce fait, mes doigts nettoyés, j’aborde directement le sujet :
    
    — Et si je te présentais à mes saisonniers ?
    — Ah bon ? C’était pas une plaisanterie ?
    — Non, non ! J’ai vraiment quinze ouvriers sous mes ordres, et ils seraient ravis de faire ta connaissance de très près ! Du moins, la grosse majorité d’entre eux.
    — Ah bon ? Pas tous ?
    — Il y en a deux qui clament partout qu’ils sont fidèles, et deux ou trois autres qui me semblent plus portés sur les hommes que sur les femmes… mais il y a une grosse probabilité que tu sois capable de les ...
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