1. Belle des champs


    Datte: 06/10/2023, Catégories: fh, inconnu, campagne, cérébral, caresses, Oral pénétratio, totalsexe, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... les toits ? Toujours entre nous, ça m’arrange bien !
    — Pourquoi donc ?
    — Moins les autres savent, mieux on se porte, toi et moi !
    — Ça, c’est ben vrai !
    
    Je constate avec plaisir qu’entre mes jambes, mon engin est déjà frétillant. Oui, d’habitude, il me faut un peu plus de temps pour remonter la pente, mais la donzelle est un gigantesque aphrodisiaque, à elle toute seule, aussi bien physiquement que par sa bonne volonté. Je m’écarte d’elle, tout en lui prenant la main :
    
    — On va changer un peu d’endroit, ma jolie.
    — On va loin ?
    — Une vingtaine de mètres maximum.
    — Ah bon ?
    
    Nous arrivons rapidement face à un petit fossé à sec. Elle le regarde avec application, puis elle me demande :
    
    — Je ne comprends pas bien…
    — Je vais t’expliquer ça, maBelle des champs… Est-ce que tu acceptes de t’allonger de dos sur de l’herbe ?
    — Oui, du moment que je n’ai pas de mauvaises surprises, genre orties ou ronces. Pareil pour les bébêtes !
    — Ça devrait le faire, dans ce cas. Allonge-toi là, entre les deux arbustes, en haut du fossé.
    
    Intriguée, elle s’exécute :
    
    — Comme ceci ?
    — Approche-toi un peu plus de moi… oui… comme ça… stop ! Parfait !
    — Je ne comprends toujours pas.
    
    Je descends dans le fossé, je suis juste à bonne hauteur. Je connais depuis mon adolescence ce coin un peu particulier que j’ai expérimenté plus d’une fois avec des filles de mon âge. C’est un peu comme si la nana était allongée sur une table, jambes largement écartées. Je suppose que tout le ...
    ... monde a compris, car Gwladys semble avoir tilté, si j’en crois son petit sourire coquin.
    
    — T’as encore des réserves pour tirer un coup ?
    — Exactement ! quand on a une femme comme toi sous la main, on en profite jusqu’au bout, jusqu’à l’épuisement de ses forces !
    
    Mon vit étant à bonne hauteur et bien dans l’axe, je me fais un plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cette fois-ci en un classique missionnaire.
    
    — Hou que c’est bon !
    
    Mains posées sur le haut du talus, je commence à nouveau mon activité favorite avec les femmes : le pistonnage, à l’horizontale ou à la verticale, peu me chaut, je ne suis pas sectaire. J’accepte même celui en diagonale, c’est dire mon ouverture d’esprit !
    
    C’est avec volupté que je coulisse dans l’antre privé de la donzelle. Ah le sexe, rien de tel pour ensoleiller votre journée, même s’il pleut des hallebardes avec un ciel totalement bouché ! N’en déplaise aux pisse-froid, sans sexe, il n’y aurait plus d’humanité depuis belle lurette, faute de descendants pour remplacer ceux qui sont partis pour un monde dit meilleur.
    
    Après ces considérations hautement philosophiques, je redescends sur terre, constatant un point de détail concernant Gwladys qui est allongée devant moi :
    
    — C’est curieux, en général, les femmes s’astiquent l’abricot, mais pas toi…
    — T’inquiète, mon truc à moi, c’est après.
    — Après ? C’est-à-dire ?
    — Quand je suis seule et que je repense à tout ce que j’ai vécu, tout en me faisant du bien…
    — Oh-oh ! Madame est une ...
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