Halloween, l'annonce faite à Violaine
Datte: 03/10/2023,
Catégories:
f,
fh,
couple,
campagne,
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
délire,
fantastiqu,
amouroman,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... pas faits que pour laisser passer la lumière de bougies !
— …
— C’est bien ça, hein, je suis la plus belle de tes courges pour te soulager ? Et à l’instant, tu serais prêt à promettre n’importe quoi pourvu que je vide tes couilles. Elle ne te donne pas ce genre de plaisir, ta femme. Pauvres boules toutes pleines de jus de mec. Depuis quand ne se laisse-t-elle plus toucher ?
Les mains de Violaine virevoltent sur la couverture, excitant les points sensibles du torse et du ventre masculin. Finalement, après une longue manipulation érotique des tétons et du nombril, elle descend jusqu’au bas-ventre et commence à caresser le sexe dressé de l’homme.
— Un an que tu ne l’as plus touchée ? Pour de vrai ! Donc depuis que tu m’as lâchée ? Trop mauvaise pioche : plus de maîtresse, plus de femme, la zone, quoi ! Laisse-toi aller, mon Pierre, même si je déteste ce que j’ai vécu tous ces mois sans toi, je vais t’en donner un beau d’orgasme. Un vrai, bien juteux, à t’en ratatiner les couilles pour des semaines.
— …
— J’aime tellement ton sexe. Il m’a rendue folle depuis la première pénétration. En plus, il est beau, juste beau, un régal pour les yeux quand tu reprends des forces avant de me sauter à nouveau.
— …
— Si j’aime cette impatience débridée ? Mais je l’adore, j’adore te sentir en moi, je perds pied dès que ta queue m’envahit. J’ai besoin d’elle comme j’ai besoin de respirer. Tu comprends ça ? Tu comprends à quel point j’ai besoin de ton corps dans le mien ? À quel ...
... point j’ai même besoin de ton égoïsme de mec, qui me laisse pourtant souvent en rade juste avant le feu d’artifice ? Je m’en fiche, j’ai dix doigts de bonne taille pour te remplacer après ton départ. Et là, mon gars, je te jure que je m’envoie en l’air, avec l’odeur de ton sperme dans les narines. Ton jus, c’est mon délire, ma drogue, ma coke à moi.
— …
— À toi aussi, nos séances de baise te manquent ? Alors pourquoi ne reviens-tu plus vers moi ? Pourquoi me laisses-tu si seule depuis douze mois ?
Pendant qu’elle lui parle, dans le creux de l’épaule, sa main va et vient sur le sexe de l’homme. D’abord de haut en bas, doucement. Puis, petit à petit, elle lui offre des stimulations plus précises, sur le bout du gland, sous le frein. Elle le sent vibrer, se tendre, chercher déjà le plaisir dans le basculement des hanches, dans le simulacre de pénétration.
Elle n’a toutefois pas l’intention de le laisser diriger les ébats. Elle le tient, elle ne le lâchera plus. Pour le convaincre de s’abandonner, elle le branle de plus en plus vite, le prend en main de plus en plus fermement, insistant sur le passage du gland.
À chaque fois, tout son corps réagit, il se tend, se courbe, cherche instinctivement à pénétrer quelque chose qui le soulagera.
— Je ne te donnerai pas le plaisir de me caresser, mais je veux que tu saches à quel point je mouille. C’est chaque fois la même chose dès que tu me touches. Je réagis au quart de tour, redeviens ton objet de plaisir, ta poupée ...