1. Halloween, l'annonce faite à Violaine


    Datte: 03/10/2023, Catégories: f, fh, couple, campagne, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, délire, fantastiqu, amouroman, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... de sa semence.
    
    Bien sûr, ces étreintes furtives, ces baisers langoureux trop tôt avortés, ces pénétrations acrobatiques dans des coins discrets de la ferme, tout ce que cet amour interdit leur imposait ne lui suffisait pas.
    
    Souvent, après le départ de Pierre, elle se faisait vraiment jouir en se caressant rageusement, dans l’écurie ou la grange, là où il l’avait prise, là où il lui avait murmuré ces mots qui glissaient tant d’espoir dans son cœur et son ventre.
    
    Un jour, il serait à elle. Un jour, ils feraient l’amour dans un lit, se lèveraient au petit matin, encore gavés des plaisirs d’une longue nuit. Un jour, il ne viendrait pas seulement acheter des courges ou quelques autres produits de la ferme, mais la chercher, elle, et lui donner une place à ses côtés.
    
    Ces mots si troublants faisaient monter le plaisir de Violaine en flèche lorsque Pierre prenait le temps de les lui murmurer. La bouche de Pierre dans son cou, elle écartait les cuisses pour le prendre plus profondément en elle, pour qu’il s’abandonne et jouisse dans son ventre.
    
    Elle avait renoncé à toute protection. Elle voulait sentir son sperme dégouliner le long de ses jambes après le dernier baiser. Elle voulait le goût de lui sur ses doigts pour apaiser les tourments de ses départs précipités.
    
    Le contact de cette laitance coulant de son vagin la mettait en transe. Il prolongeait l’acte d’amour, scellait un pacte tacite entre les deux amants.
    
    Peut-être même désirait-elle secrètement tomber ...
    ... enceinte de lui. Son époux, qui l’honorait maladroitement, mais néanmoins régulièrement, n’y aurait vu que du feu. Elle seule saurait ce lien indéfectible entre elle et Pierre. Il lui suffirait de caresser les cheveux de son enfant, de leur enfant, pour qu’elle retrouve le soyeux de la chevelure de son amant.
    
    ooo000ooo
    
    Maintenant, Violaine ne serre plus seulement la couverture contre elle. Elle a dégrafé le haut de sa robe et presse ses seins nus contre le tissu rêche. Ses doigts effleurent le mannequin de laine comme ils effleuraient le torse et le ventre de son amant. Elle cherche les tétons et les prend entre le pouce et l’index.
    
    Elle retrace alors sur ces petits bouts de chair imaginaires les caresses qu’elle aimait offrir à son amant lorsque, dérogeant à leur rituel, il la laissait faire ce qu’elle voulait de son corps. Alors elle se glissait nue contre son dos, et jouait une partition affolante de ses doigts agiles. Une mélodie voluptueuse sur ses zones érogènes où lesstaccati, lessaltendi ou leslegati se suivaient avec une maîtrise consommée de l’art amoureux.
    
    Pierre ne résistait pas longtemps à des manipulations si passionnées. La queue dressée droit devant eux, enfermé entre les bras de Violaine, il la suppliait de mettre fin à ses tourments.
    
    Elle aurait préféré continuer, aller encore plus loin, sexplorer les limites de la résistance virile. Mais elle aimait aussi le sentir accepter sa domination et implorer une libération séminale trop longtemps ...
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