Isabelle en balade
Datte: 30/09/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
voiture,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... l’ignore. En tout cas, Antoine semble changer son fusil d’épaule :
— Ah bon ? C’est votre première fois ? C’est dommage pour tous les usagers de la route.
— Ah bon, pourquoi ? demande ma compagne en minaudant. Antoine s’enhardit carrément :
— Parce qu’ils n’ont pas eu le plaisir de vous découvrir, de vous admirer…
— Oooh ! Petit canaillou !
Est-ce volontaire ou pas, le jeu de mots sur « découvrir », ou bien c’est moi qui cherche trop des complications où il n’y en a pas ? En tout cas, le jeunot mène sa barque, l’absence de son paternel doit aider :
— Petit ? Vous me sous-estimez !
— Oooh ! Gros canaillou !
Pour appuyer les dires d’Isa, Antoine pose flegmatiquement sa main sur le siège, juste à côté de la cuisse dénudée qu’elle offre à nos yeux. Étrangement, ma passagère ne proteste pas. Voyant que son initiative n’est pas refoulée, les doigts se posent alors carrément sur la peau dévoilée. Isa ne chasse pas non plus cette main assurément baladeuse, puis caressante sur la chair offerte.
Voyant que la voie semble libre, le jeunot envoie sa salade :
— Vous savez que vous êtes très attirante…
— Oooh, le coquin !
— Tous ces mignons trésors sur vous…
— Oooh, le filou !
— Hmmm… ces cuisses si douces, si sensuelles…
— Oooh !
Délicatement, il caresse toujours la cuisse dévoilée, s’offrant à présent le luxe d’aller taquiner un pubis bien dévoilé, et même parfois l’orée d’une fente. Antoine sait de qui tenir, son paternel n’est certainement pas un ...
... anachorète, ces moines solitaires qui vivaient loin de tous les autres êtres humains, ou parfois dans des endroits incongrus comme le sommet d’une colonne. Du moins, d’après ce que j’ai pu lire dans une revue, la semaine dernière.
Pour en revenir à mes deux passagers, ils se contemplent tous les deux dans les yeux, ils se regardent tous deux sans parler, comme s’ils buvaient l’eau de leurs visages, et c’était comme si tout recommençait…
Oui, ils étaient ferrés l’un à l’autre…
Isabelle tangue, tergiverse, se mordillant les lèvres, tandis que le jeunot la dévore des yeux, sans oublier de la caresser plus bas. Soudain, se tortillant toujours sur place, elle me regarde étrangement, m’adressant une question muette à laquelle je ne dis pas non. Quelques secondes s’écoulent, puis elle lance :
— Oooh, j’ai trop envie, moi !
Elle se lève pour aller s’asseoir sur la couchette. Au passage, elle capture le bras d’Antoine pour l’obliger à venir avec elle. Obliger n’est peut-être pas le bon verbe, car le garçon se laisse faire sans souci, à la fois surpris et ravi. Je me mets à sa place.
En tout cas, on dirait que les choses dérapent, et pas dans le sens que je l’avais souhaité au départ. Antoine n’était pas prévu dans mes plans. En revanche, qu’Isa se dévergonde me convient, à condition que j’en profite !
Sans aucune honte, Isa pose à nouveau la main d’Antoine entre ses cuisses :
— Allez, vas-y, fais-moi du bien !
— Euh… d’accord… tout de suite !
De ce fait, les doigts ...