Médecine douce pour faiblesse masculine.
Datte: 28/09/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... ce n’est pas assez. Je veux retrouver la puissance de Charles. Je veux qu’Hugo se joigne à lui et qu’ils me baisent.
— Baisez-moi…Oui, plus fort…Ohhh, mon Dieu… Mon cul, Chéri, défonce-moi le cul… Charles bouge ton monstre qu’il me… Oh, oui… Baisez-moi… Baisez la salope… Videz-vous en moi… Noyez-moi de votre foutre… Après je veux le boire… Chéri, tu… Encore… Encore… Encore… Je suis… Martine frotte plus vite… Mes seins…Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Nous sommes chez nous, couchés côte à côte, silencieux, ne trouvant pas le sommeil.
Nous n’avons pas échangé un mot sur le chemin du retour. Je ne sais quoi penser. Je me suis comportée comme jamais je n’aurais pu imaginer. Je savais qu’accepter cette invitation c’était prendre un risque, mais je le pensais calculé, pourtant j’ai été entraînée si loin, hors de ma zone de confort comme dirait la sexologue, que je m’inquiète. Qu’a pensé Hugo de ce que j’ai fait ? Oui, il était présent. Oui, il savait que cette invitation était une porte ouverte vers l’inconnu. Oui, il m’a accompagnée – même guidée – mais s’attendait-il à ce que son épouse se comporte ainsi ? Mon Dieu quand j’y pense ! Cela doit être cela une « Salope ». Mon Dieu, je crois entendre résonner dans mes oreilles tout ce que j’ai dit. Ce n’était pas moi, la Julie que je connais n’est pas… Pourtant c’est bien de ma bouche que ces horreurs sont sorties.
J’entends dans le silence de la nuit la respiration de mon mari. Ce n’est pas celle d’un dormeur :
— Tu dors ...
... ?
— Non. Je réfléchis.
— Oh, tu penses à la façon dont je me suis comportée !
— Non, plutôt à…
— Je m’excuse.
— Mais de quoi ?
— Je ne peux même pas prendre l’alcool comme excuse, j’avais peu bu. Non, je ne comprends pas ce qu’il s’est passé. J’ai été emportée par la folie. Je n’aurais pas dû accepter. Tu dois m’en vouloir, pire, penser que je suis devenue…
— Chut, tais-toi.
Il vient se lover tout contre moi.
— Je t’aime. J’ai aimé la Julie de tout à l’heure. J’ai adoré t’entendre parler. J’ai aimé chacun de tes souffles, chacun de tes petits cris, chaque mot. J’ai adoré te voir ainsi, avec moi, pour moi, coquine, amoureuse. Tu n’as rien à te reprocher. Tu n’as rien à te faire excuser. Tu as été magnifique. Mais, par contre, moi, je dois t’avouer quelque chose.
— Merci mon amour.
— Non, écoute-moi. Ce que j’ai fait est grave… Laisse-moi te le dire. S’il te plaît, ne m’interromps pas, je n’aurais pas le courage d’aller au bout.
— Ciel.
— Je suis sérieux. Écoute. Lorsque j’ai commencé à avoir des faiblesses d’érection, j’ai d’abord essayé les médocs. Cela ne marchait pas très bien. Mon toubib m’a donc parlé de la routine dans les couples, que c’était un grand classique, pas vraiment grave si on décidait de changer les choses. Je me souviens, il m’a dit :
Mais je n’osais pas t’en parler. Je sais, c’est de la lâcheté mais j’avais peur que tu me prennes pour un « malade ». Chérie, tu peux être terriblement brutale dans tes jugements. Alors j’ai imaginé tout ce ...