1. Médecine douce pour faiblesse masculine.


    Datte: 28/09/2023, Catégories: fh, fhh, couplus, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... encore plus « accessible » à celui qui me baise déjà bien fort, qu’il me tire encore plus sur les cheveux et me bourre avec une force que je n’ai jamais connue.
    
    Hugo est un mari attentif, et nos baises, si elles peuvent être intenses, n’ont jamais atteint une telle puissance avec une sorte de bestialité qui me secoue.
    
    Combien de temps me laboure-t-il ainsi ? C’est si bon que je ne voudrais pas que cela finisse. J’entends des clapotis… Je sens une sorte de….
    
    — Ohhh… Oui… Continuez… Ahhhh… Je jouis… Chéri, je jouis… Je jouis…
    
    Je n’ai même plus honte. Le regard de Hugo me rassure. Son regard mais aussi sa main que tendrement il pose sur ma joue. Il me caresse la joue alors que je dis ma jouissance. Une jouissance apportée par un autre. Une jouissance si forte qu’elle paraît anormale.
    
    Mon baiseur semble faire une pause. En tournant la tête, je vois que sa femme lui parle. Il semble acquiescer, se penche sur moi, il me propose.
    
    — Changeons, tu veux bien. Viens sur moi.
    
    Je me sens soudain vide. Il s’est retiré. Déjà, son sexe me manque. Je vois en passant qu’il est toujours en belle forme, plus brillant peut-être, trace de ma jouissance…
    
    Il s’allonge. Il est à côté de mon mari. Cela ne m’étonne déjà plus. Ce que je veux c’est me prendre avec son mandrin. J’ai joui mais j’ai encore envie de son bel outil dans ma fente.
    
    Je descends sur lui. Une seconde, j’ai pensé me prendre par le petit trou, mais j’ai eu peur de sa taille, et aussi et surtout du regard ...
    ... de mon mari.
    
    Je suis folle ! Mon Dieu, qu’est-ce qu’il se passe ? On m’a droguée ? Je suis saoule ?
    
    Ohhh ! Non, ce n’est rien de tout cela. C’est son sexe ! C’est Hugo qui me regarde ! C’est cette sexologue à qui j’ai avoué de drôles de sensations et qui a dû sentir que moi aussi j’avais besoin d’un peu de piment. C’est Martine aussi, sa rencontre, sa complicité, ses aveux de libertinage, son plaidoyer pour l’échangisme.
    
    Je la comprends maintenant. Je n’en avais pas conscience mais j’en avais envie…
    
    J’ondule comme une coquine, une délurée. Son bâton est si dur et gros que j’ai la pensée obscène d’une bitte sur un port, avec la chanson de corps de garde qui explique qu’une femme de marin, ou une prostituée…
    
    Je m’accroupis. Je le sens autrement et si je bouge il me sert de guide.
    
    À côté les amants bougent. Je vois Martine se pencher pour parler à l’oreille de mon mari.
    
    Que lui dit-elle ? Elle parle de moi, c’est évident car Hugo me regarde d’un drôle d’air. Lui aussi acquiesce.
    
    Ils bougent.
    
    Hugo s’assied au bord du lit.
    
    Martine lui retire la capote.
    
    Je ne comprends pas. Sont-ils en colère ? Hugo veut-il tout arrêter ? Elle peut être ? Non, car elle le reprend en bouche. Mais juste quelques secondes. Elle se lève et je la vois disparaître derrière moi.
    
    Des mains se posent sur mes fesses. Une langue se glisse dans mon sillon, joue avec ma corolle.
    
    Un regard vers Hugo qui tient son sexe dans la main et va… Je comprends… Je sais ce que la garce ...
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