1. À la montagne


    Datte: 04/07/2019, Catégories: 2couples, couplus, extracon, extraoffre, vacances, forêt, campagne, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, échange, entrecoup, nature, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... silence impressionnant, les « couples naturels » se sont reformés.
    
    Nos « guides » nous devançaient et nous étions là, Sylvie et moi, l’un à côté de l’autre, sans oser briser ce silence, peut-être par peur du ridicule, à moins que ce ne soit pour préserver ce moment si particulier que nous venions de vivre.
    
    Et puis nous avons vu nos hôtes de promenade se rapprocher physiquement, continuant à avancer, les bras entourant leur taille.
    
    Au bout d’un certain moment, nous avons fait de même sans trop savoir qui de nous deux a vraiment pris l’initiative. Nous avions finalement besoin de sentir la chaleur de notre peau.
    
    Ce besoin de nous rassurer, et de reprendre contact, prit une tournure une nouvelle fois imprévue.
    
    Il n’y avait pas réellement de désir sexuel dans nos attouchements, car nous étions l’un comme l’autre pour l’instant rassasiés. Mais nous avions le désir de rentrer en contact avec les parties les plus intimes de nos chairs.
    
    C’est ainsi que le plus naturellement du monde nous avons poursuivi la fin de cette randonnée : Sylvie en en enserrant ma bite entre ses doigts, comme si elle voulait la garder bien au chaud rien que pour elle, et moi fourrant mes doigts dans son sexe encore humide et palpitant des prouesses dont elle ne m’avait rien dissimulé.
    
    Nous savions, l’un comme l’autre, que nous venions de nous abandonner de la façon la plus honteuse à un double adultère et il y avait sans doute une saveur bien singulière à sentir entre nos doigts les ...
    ... sécrétions intimes des partenaires d’un instant qui nous devançaient. Cette expérience curieusement semblait brusquement nous rapprocher. Il ne nous échappait pas qu’Isabelle et Cédric réagissaient comme nous en cherchant le contact de leurs parties intimes.
    
    Lorsque nous nous sommes quittés dans la vallée, nous savions déjà que nous ne nous reverrions pas. Il n’était pas nécessaire d’en dire davantage; nos bouches n’avaient plus à exprimer que ce dernier baiser appuyé que j’échangeais avec Isabelle pour sentir une dernière fois la saveur si singulière de ses lèvres et de sa langue, pendant que Sylvie faisait de même avec Cédric. C’était une façon de nous remercier mutuellement qui exprimait bien plus que tout autre discours.
    
    En rentrant à la maison, nous savions ma femme et moi, que contrairement à nos amants d’un jour qui avaient pris eux-même l’initiative de nous tendre ce piège si particulier, et qui avaient une expérience indéniable en la matière, nous ne chercherions pas à renouveler ce qui avait été aussi une épreuve pour notre couple.
    
    Par contre depuis ce jour, un rituel bien sympathique s’est imposé à nous, que nous associons à la pensée émue d’Isabelle et de Cédric.
    
    Nous savons que lorsque nous partons en randonnée à deux, il faut prévoir au moins un détour pour nous adonner à des pulsions sauvages qu’il est préférable de cacher à des promeneurs non avertis.
    
    Si malgré tout nous devions être surpris, cela n’a plus guère d’importance. Nous avons l’un comme ...