À la montagne
Datte: 04/07/2019,
Catégories:
2couples,
couplus,
extracon,
extraoffre,
vacances,
forêt,
campagne,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
échange,
entrecoup,
nature,
Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe
... décidément singulièrement chaleureuse, fit glisser sa main libre dans mon slip pour prodiguer à mon sexe, réduit alors à ses plus modestes proportions, un massage chaud et tendre.
J’adorais son odeur et je prolongeai la dégustation en léchant délicatement ces perles de sueurs qui glissaient entre ses seins.
Au loin, les râles de jouissances de ma femme me parvenaient encore et me faisait imaginer qu’elle avait à nouveau changé de position… mais tout cela n’avait plus d’importance, car j’étais moi-même soumis au total abandon de mes sens.
Je voyais maintenant au-dessus de moi la sensuelle silhouette d’Isabelle qui s’était entièrement dénudée. Elle avait, avec dextérité, défait mon short et libéré mon sexe, qui était maintenant fièrement dressé mais, avant de s’occuper de lui, elle me prodigua du plat de ses mains si douces un massage exquis, faisant glisser ses doigts le long des poils de mon torse.
Ce n’est que lorsqu’elle a introduit mon membre en elle que j’ai entraperçu le joli mont de Vénus paré d’un fin duvet brun qu’elle avait taillé avec soin en forme de petit triangle.
Je me mis à caresser sa petite toison pour ensuite porter mes doigts à mes narines et en humer la délicate et prégnante saveur. Mais ma cavalière, qui faisait coulisser avec une savante lenteur sa petite chatte humide le long de ma verge, m’offrit un mets plus succulent encore. Elle introduisit deux doigts dans son vagin et les offrit, luisants de sa liqueur d’amour, à mes lèvres et à ma ...
... langue. Je buvais ainsi savoureusement de son nectar intime.
Ma superbe maîtresse me chevaucha bientôt avec plus de fougue et de vigueur, et je ne pus résister longtemps à me décharger en elle. J’étais submergé par un plaisir intense que je n’avais jamais connu jusqu’alors, jusqu’à en perdre conscience.
Quand je suis revenu à moi, Isabelle était toujours lovée autour de mon sexe et je sentais plus que jamais la chaleur de ses cuisses se serrer contre mon bassin.
Elle s’était penchée légèrement pour caresser mon visage de ses mains, puis de sa bouche. Je répondais à ses tendres baisers qui me rappelaient les émotions de la première fois où j’avais fait l’amour, avant même de connaître Sylvie.
C’est à l’instant précis, où je me remis à penser à ma femme, que je vis son visage au-dessus de celui d’Isabelle.
À peine en retrait se trouvait Cédric qui arborait un sourire radieux, alors que celui de ma femme paraissait plus timide, peut-être de peur de me blesser davantage.
Tous deux, bien sûr, s’étaient rhabillés, et je dois avouer que j’ai vécu la situation de façon plutôt humiliante. Je n’étais guère en position d’exprimer la moindre réprimande au couple qui nous observait, alors que j’en avais en partie profondément envie.
Parler de gêne de ma part, c’est être en deçà de la réalité. C’est tout penaud qu’il m’a fallu enfiler mes vêtements sans pouvoir profiter plus longtemps de la si troublante nudité d’Isabelle.
Ensuite, sur le chemin du retour, dans un ...