À la montagne
Datte: 04/07/2019,
Catégories:
2couples,
couplus,
extracon,
extraoffre,
vacances,
forêt,
campagne,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
échange,
entrecoup,
nature,
Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe
... partenaire comme si je n’étais pas là. En vérité, cela faisait sans doute de longues minutes que, pour elle, je n’étais plus là !
Je la voyais comme subjuguée par ce grand mâle à la carrure imposante. En vérité, j’avais l’impression de rêver ou plutôt de vivre le pire des cauchemars. La main d’Isabelle qui tendrement caressait la mienne avec le but évident de me rassurer, me ramenait malheureusement aussi à l’évidence que tout cela était bien réel !
Et puis je vis ma femme, que j’ai toujours jusqu’ici perçue comme si fidèle, s’agenouiller pour baisser sans ménagement le short de son amant et dégager un sexe bandé aux belles proportions. En un instant elle l’avait englouti et lui appliquait une tendre fellation avec toute l’application dont je la savais capable en la matière.
Voir ainsi sa bouche si gourmande, que j’avais eu le plaisir de sentir une dernière fois au contact de mes lèvres quelques instants auparavant, au départ même de cette randonnée, envelopper la verge de ce quasi inconnu, pour la sucer avec une telle avidité, avait quelque chose d’absolument surréaliste.
Mais que dire de ce qui s’est passé ensuite, quand elle s’est relevée pour plaquer cette fois-ci sa poitrine contre le tronc d’un arbre, alors qu’elle prenait elle-même l’initiative d’offrir la nudité de son cul à son partenaire en faisant tomber son short et sa culotte à ses chevilles.
Elle l’a laissé ainsi s’introduire en elle par-derrière, tout en lui laissant le loisir de masser sa ...
... rosette. Il ne fallu pas longtemps pour qu’il la pénètre ainsi par ses deux orifices les plus secrets, lui fourrant l’anus de son pouce, pendant qu’il la baisait comme s’il s’était agi de deux animaux en rut !
Cette impression de sauvagerie était renforcée encore par les cris perçants que poussait désormais mon épouse, tout en frottant ses seins rougis par le plaisir autant que par la douleur contre l’écorce rugueuse.
En vérité, outre la position insolite dans laquelle elle se trouvait, c’était toute son attitude qui renvoyant à une sorte de sauvagerie primitive.
Ces cheveux étaient désormais défaits et bientôt elle se dégagea, pour se vautrer à plat ventre contre le sol. Sa peau nue (elle n’avait gardé que ses chaussures et ses chaussettes) se trouvait ainsi au contact direct du tapis de feuilles et de terre, dans lesquels j’imaginais grouiller toutes sortes de vermines.
Cette posture où je la voyais se vautrer avec frénésie, comme si elle était soudainement possédée par quelque démon, avait pour elle un objectif, offrir tout ce qu’elle pouvait encore à son partenaire sexuel. Je compris bien vite qu’elle voulait ainsi lui faire l’offrande de la part de virginité qu’il lui restait. Elle avait relevé son sublime postérieur et était en train d’écarter ses fesses afin d’assouvir cet ultime désir.
Bien sûr, son homme des bois ne s’est pas fait longtemps attendre. En un instant il a présenté sa hampe turgescente dans le sillon si accueillant et, s’assurant à peine de ...