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À la montagne
Datte: 04/07/2019, Catégories: 2couples, couplus, extracon, extraoffre, vacances, forêt, campagne, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, échange, entrecoup, nature, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe
... celui qui parait ses doigts tout aussi fins. C’est à ce moment précis qu’elle a relevé ses beaux yeux pour plonger son regard dans le mien. J’avais l’impression d’être envoûté, c’était comme si toutes les nuances de vert de la végétation qui nous enveloppait se trouvaient concentrées dans ses yeux-là ! La profondeur de son regard, qu’elle soutenait désormais sans équivoque, me donnait l’impression de pouvoir plonger en elle comme j’aurais plongé pour découvrir cette part d’ombre que j’avais caché en moi. Et puis brusquement, je fus pris d’une peur panique. Je me mis à nouveau à penser à Sylvie qui maintenant devait être loin de nous et qui se retrouvait seule avec ce cruel compagnon de randonnée ! Isabelle semblait comprendre mon inquiétude et ne chercha pas à me retenir. Elle me demanda simplement de l’attendre pendant qu’elle remettait sa chaussure avec un empressement que je ne pus qu’apprécier. Après ce moment d’abandon, je savais qu’une seule chose pourrait me réconforter, retrouver la trace de ma femme et de son accompagnateur le long de ce chemin. Nous avons marché longtemps à un rythme soutenu et j’étais passablement agacé de voir que nos deux acolytes ne nous avaient pas attendus. Mais j’avais constaté déjà tout à l’heure qu’ils avaient marché de longues minutes sans se retourner une seule fois et cette cruelle pensée n’était pas là pour me rassurer. Et puis j’ai entendu à nouveau son rire clair et éclatant. Je me demandai décidément ce qu’il ...
... pouvait lui dire pour la faire rire ainsi ! En continuant à m’avancer, alors qu’Isabelle avait eu la gentillesse d’être à mes côtés sans rien laisser paraître pour sa part d’une quelconque inquiétude, je me rendis vite compte que les voix qui nous parvenaient ne provenaient pas du chemin, mais de la profondeur du bois sur notre gauche. Et puis un profond silence succéda aux éclats de voix de Sylvie. Une sorte d’angoisse sourde monta en moi et Isabelle dut percevoir cette crainte car elle prit simplement ma main. La suavité de sa peau contre la mienne me rassura, tout en me renvoyant à cette peur absurde qu’elle ne semblait pas partager. Nous étions comme deux enfants, main dans la main, marchant doucement dans le sous-bois pour ne pas faire de bruit. J’en étais venu sans m’en rendre compte à retenir mon souffle, quand j’entendis distinctement le souffle de mon épouse. À une distance raisonnable, je vis ce spectacle fascinant et cruel. Sylvie était adossée à un arbre, torse nu, pendant que Cédric léchait l’un de ses seins tout en frottant la paume de sa main contre l’autre sans aucun ménagement. Je voyais ma femme ainsi se faire lécher et tripoter la poitrine avec une évidente complaisance que je ne pouvais que constater, accompagnant même les gestes de son partenaire en appuyant cette tête gourmande vers chacun des monticules boursouflés de sa jolie poitrine. Je réalisais qu’elle avait déjà perdu tout contrôle et qu’elle se laissait aller aux caresses de son ...