La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1605)
Datte: 24/09/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... plaisir et que j’allais éclater, comme un ballon, tellement mon corps chaud d’extrêmes excitations était sous très haute pression avec l'accumulation du plaisir en ces instants magiques, ou comme une cocotte-minute qu’on ne laisse pas échapper la vapeur et qui va exploser. Quand cette puissante sensation d’éclater avait atteint son paroxysme, une gigantesque explosion orgasmique s'était produite en moi, diffusant à la vitesse d’un éclair sur toute ma colonne vertébrale, remontant sur toute mon échine et se diffusant dans tout mon corps, avec une puissance inouïe et on ne peut plus dévastatrice, de tout le plaisir qui s'était accumulé...
Je poussais de longs hurlements dix fois plus forts qu’un banal orgasme habituel. De longues et libératrices décharges électriques orgasmiques irradiaient tout mon corps exprimées par des spasmes que je ne pouvais pas contrôler, mon corps nu et servile, tout en sueur n’était que plaisirs. Mon cerveau était en une extrême ébullition jouissive, j’avais l’impression de jouir mentalement autant que physiquement, tout en même temps. Le Maître m’apprit plus tard qu’à ce moment-là, j’étais en transe, tout mon corps tremblait et que cet état a duré de longue minutes. Moi, je ne m’en suis pas rendu compte, j’avais presque perdu conscience après ce séisme orgasmique… Revenant doucement à moi, je sentais encore mon corps trembloter. J’étais complètement vidée … mais comblée… Je n’avais jamais de ma vie, eu un orgasme aussi puissant, violent, extrême ...
... d’intensité…
- Belle petite chienne-esclave, tu es parfaite, me dit-il en m’ordonnant de m’enlever du gode vaginal.
Puis je sentis que Monsieur le Marquis prenait la laisse et alors qu’il tirait dessus.
- A quatre pattes, à présent, je vais t’emmener pisser maintenant.
Me voilà, en quadrupédie, yeux bandés, suivant le Maître, tentant tant bien que mal de descendre les marches froides en pierre des escaliers étroites et abruptes en colimaçon, ce qui n’était pas évident quand on a la tête la première en position quatre pattes. Mais le Noble me guidait doucement et après avoir traversé un sombre et petit couloir latéral au mur blanchi de plâtre, nous voilà dehors via une porte dérobé donnant sur l’extérieur. Les gravillons rouge me faisaient mal aux genoux mais je suivais tout de même comme je le pouvais. Le froid me saisit sur ma nudité et l’envie d’uriner arriva naturellement.
- Pisse maintenant, Ma chienne.
- Comment Maître- Comme le font les chiens pardi, lève une papatte et pisse.
J’avais tellement envie que je ne me le fis pas dire deux fois, et de longs jets d’urines fumants s’évacuaient de ma vessie. Tandis que je me secouais la jambe levée pour faire tomber les dernières gouttes, Walter arriva :
- Belle nuit étoilée, Walter !
- En effet, Monsieur le Marquis- Rien à signaler ?
- Non Monsieur le Marquis, tout va bien ! Sauf qu’un esclave a cassé un vase de valeur en souhaitant le dépoussiérer- Ah ? Et qu’as-tu choisi comme punition ?
- Une ...