La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1605)
Datte: 24/09/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... moi.
- Plus vite, ralentis, reprends à nouveau, encore ….
Je sentais en moi les deux godes se toucher à chaque va-et-vient. Puis subitement
- Ne bouge plus.
- Maî... Maître, j’ai trop envie !
Comme seule réponse, un sifflement fendit l’air et j’eus la sensation de brûlure sur mon sein droit qui venait de recevoir un fort coup de cravache. Un second sifflement m’atteignit à nouveau sur le même sein mais plus bas à hauteur de l’aréole. Méthodiquement, les coups tombaient, le téton lui-même fut servi. Puis ce fut le tour du sein gauche, les coups tombaient comme s’il dessinait sur eux un tableau et ça m’excitait encore plus. En effet une fois terminé, j’entendis le Maître me dire, maintenant tes seins sont parfaitement décorés ; et ça c’est juste pour Mon plaisir, salope... Reprends tes mouvements maintenant, monte et baisse !
Je me remis en mouvement à nouveau, les vibrations reprirent fortement cette fois, accompagnées aussi de vibrations anales. La totale en fait ! Prise en même temps dans mes deux trous de pute et tous deux par des engins vibrants… J’entendis le Maître s’approcher de ma bouche, et me dire :
- Ouvre la bouche, la chienne !
J’obéis et je sentis Sa grosse Verge déjà bien dure s’enfoncer profondément dans mon gosier. Je hoquetais, manquant m’étrangler, mais Il empoignais ma queue de cheval et me la tirait fortement la tête contre son bas-ventre me forçant à le prendre entièrement dans ma cavité buccale. Alors Il me besogna la bouche un ...
... long moment, choisissant et m’imposant Lui-même quand il devait me laisser reprendre de l’air. Il me baisait littéralement mon orifice buccal avec des petits coups de reins réguliers, je me sentais n’être qu’un trou déversoir de foutre, je me sentais bien remplie dans mes trois orifices, je me sentais salope, je me sentais utilisée, je me sentais chienne en chaleur, je me sentais tout simplement à ma place. Quand Il éjacula dans des râles puissants d’un mâle en rut. Il m’ordonna de tout avaler. Alors comme la femelle en chaleur que j’étais, j’avalai le sperme chaud du Maître et tout cela en continuant mécaniquement mes mouvements si excitants avec mes deux godes plantés dans ma chatte et dans mon cul de putain. Le Maître resté dans ma bouche, et moi toujours en mouvement, il lança les vibrations à fond et ordonna :
- Jouis maintenant ! C’est un ordre, Ma chienne !
Il ne me fallut même pas une demi-seconde pour réagir, pour obéir, tellement j’avais besoin de laisser éclater ma jouissance qui s’annonçait explosive avant même que l’orgasme puisse s’exprimer. Alors je jouis comme une bête, comme une femelle en chaleur, je râlais comme une lionne en feu, je me laissais aller entièrement, je lâchais à tue-tête des cris orgasmiques bruyants. J’étais accroupie presque couchée à même le sol, empalée à me faire ramoner mes deux orifices, je me raidie, gémissant, criant, hurlant mon plaisir de plus en plus fort, sans pouvoir me contrôler. À un moment, c'était comme si je gonflais de ...