Moule qui baille attire les dards
Datte: 23/09/2023,
Catégories:
fff,
hhh,
fépilée,
forêt,
fsoumise,
Partouze / Groupe
totalsexe,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... Les coquillages bivalves que font claquer les assistantes de la barbouilleuse finissent de la convaincre :« Les coquillages servent de pincettes ! Elles vont juste m’épiler ! Non, mais, tout ce cirque pour ça ! Quelle bande d’enfoirés ces Pilvajõ ! »
Cassandra pouffe de rire, manque de s’étouffer sous son bâillon, au point qu’on l’en débarrasse précipitamment. Son fou rare sidère les autochtones qui roulent des yeux ébahis. Dilma s’approche, inquiète :
— Qu’est-ce qui t’arrive ?
Entre deux hoquets, Cassandra la rassure :
— Vous m’avez foutu la trouille de ma vie, bande de salopards ! Je m’attendais au pire, moi ! Et en fait, vous voulez juste m’épiler la touffe ? Eh bien, allez-y, faites-vous plaisir !
L’Indienne s’adressant à l’assistance, baragouine quelques mots qui font bien rire les membres du clan !
Cassandra se félicite d’avoir il y a peu consciencieusement élagué sa chatte en ne laissant qu’une petite feuillée de poils sur sa motte. L’opération ne devrait pas durer bien longtemps. Maniées de façon experte, les bivalves, longs et effilés débourrent sa moule avec célérité. L’opération s’avère d’ailleurs parfaitement indolore et extrêmement rapide : les coquillages raclent crème et poils en un seul passage, et même quand les pincettes s’en viennent extirper quelques minuscules duvets bordant ses petites lèvres pourtant si sensibles, Cassandra ne ressent strictement aucun picotement. Miraculeux ! Par contre, il lui semble que son sexe est comme ...
... anesthésié par la crème dépilatoire.
« Bah, si ça me calme les babines, c’est pas plus mal avec ce qui va suivre ».
Cassandra est bien décidée en effet à se rouler dans le stupre et la fornication, histoire d’égaler au moins le niveau de sa sœur dans la même circonstance. Sans attendre la fin de l’éradication pileuse, elle fait signe à deux hommes proches. Bien que sa position ne soit pas confortable, elle embouche le premier, branle vaillamment le second, change de queue, suce et pompe alternativement les deux indigènes. Elle s’amuse des différences des deux membres tendus : celui du jeune Pilvajõ est court, mais épais, couronné par un gland écarlate nettement plus large encore que la tige du quarantenaire, fine, mais longue, quasi sans bourrelet du prépuce. La première lui force les mâchoires, la seconde s’enfonce jusqu’aux amygdales et la belle gourmande est ravie de varier ainsi les plaisirs. Suceuse de compète, elle affole tour à tour les glands dilatés, experte branleuse, ses doigts enserrent les tiges, titillent les coucougnettes, pressent les périnées, frôlent les étoiles plissées.
À l’instant où les esthéticiennes du cru balancent un seau d’eau fraîche sur sa chatte pour éliminer les restes de leur crème magique, les deux bonhommes lui balancent deux belles quantités de sperme chaud sur le visage et le torse !
Alors que les deux hommes s’en retournent commenter aux témoins de la scène l’expertise maligne de l’efficace pompeuse, Dilma s’approche de Cassandra qui ...