Moule qui baille attire les dards
Datte: 23/09/2023,
Catégories:
fff,
hhh,
fépilée,
forêt,
fsoumise,
Partouze / Groupe
totalsexe,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent :
La cérémonie de Présentation avait fort bien débuté. Être mise nue devant tout le village avait réjoui l’exhibitionniste Cassandra, mais la cérémonie a tout à coup pris un tour brutal. La jeune femme est totalement paniquée et craint le pire.
Bâillonnée, entravée, immobilisée, la pauvrette panique totalement. Elle a peur de ce qu’il va advenir d’elle, mais plus encore, elle enrage contre la traîtresse Dilma et ses beaux discours. Cassandra rage aussi contre elle-même, contre sa naïveté, sa candeur imbécile. Comment a-t-elle pu gober les fariboles servies par l’Indienne ? Est-elle vraiment si sotte pour se laisser embobiner par une gamine ?
Et Diego, il est où ? Invisible depuis qu’on est arrivé ! Il est reparti ? Le lâche, l’horrible pleutre, il m’a abandonnée ! Ce salaud savait parfaitement ce qui allait m’arriver !
La peur de Cassandra s’est muée en colère, sourde colère froide qui a tari ses pleurs. Elle relève le menton en signe de défi et ses regards foudroient les sauvages qui tournent autour de la table du sacrifice dans une ronde infernale.
«Ils peuvent tout aussi bien retirer mon bâillon, je ne crierai pas, je ne geindrai pas, quoi qu’ils me fassent ! »
Statufiée en gisant de pierre, elle ne lutte plus pour repousser les mains qui l’immobilisent, mais bande tous ses muscles pour conserver une immobilité parfaite.
Elle ne tressaille même pas quand un ordre hurlé par Viriathe stoppe net, et la ronde démentielle des ...
... processionnaires hagards, et les battements obsédants du tambour. Même les atèles, les singes hurleurs, les aras et autres oiseaux criards font silence brusquement : un silence oppressant s’abat, aggravé par la moite lourdeur atmosphérique. Cassandra voit les sauvages reculer, former un centre silencieux à distance de l’autel maudit. Elle reste impassible quand le chef s’approche et fait un signe à une matrone mamelue.C’est donc elle, pense-t-elle,l’exécutrice des hautes œuvres ! Grotesque ! Et tout aussi grotesque le sorcier rabougri qui vient de surgir aux côtés de la vulgaire.
Laquelle tient dans ses mains une jatte dans laquelle est plantée à la verticale une cuiller en bois. Les pensées de Cassandra s’embrouillent, elle imagine déjà la matrone lui enduisant l’entrejambes de miel pour attirer des fourmis carnassières qui viendront dévorer son pauvre berlingot. À tout prendre, elle préférerait que tous les mâles et femelles en rut viennent entre ses cuisses prendre un dessert de fête.« Et ne comptez pas sur ma mouille pour diluer votre tambouille ».
En fait de cuiller, c’est une spatule dont se sert l’imposante femme pour lui enduire le sexe. Particulièrement, la motte. C’est en effet principalement le mont de Vénus qui est visé et Cassandra comprend brusquement. Toutes les femmes autour d’elle présentent des abricots absolument vierges de toute pilosité, parfaitement lisses à l’instar des puki imberbes de Dilma et Arranda dont elle a ô combien apprécié le velouté. ...